M. Park, Le Bentang, l’Agora ouest-africaine, 1799

Il y a dans chaque ville une espèce de grand théâtre, qu’on appelle bentang, et qui sert de maison de ville. Il est fait de roseaux entrelacés, et ordinairement placé sous un grand arbre, qui le met à l’abri du soleil. C’est là qu’on traite les affaires publiques et qu’on juge les procès. Là aussi, les oisifs et les paresseux vont fumer leur pipe, et apprendre les nouvelles.