Homère, Odyssée, “une vénérable sicule” XXVI, 211, v. 800 av. n-è

Cependant Ulysse et ses compagnons étaient sortis de la cité d’Ithaque et se rendaient aux fertiles campagnes que le vieux Laërte possédait après avoir souffert bien des peines. Là était la demeure de ce héros : tout autour de cette maison se trouvait une galerie où les serviteurs prenaient leur repas, se reposaient le jour et dormaient la nuit. Auprès de Laërte était une vénérable Sicule qui lui prodiguait les soins les plus tendres dans cette campagne éloignée de la ville.