Ibn Abî Zayd, Kairouan, Droit conjugal, v. 980

-Un père marie son fils et sur les 60 (dinars) d’un douaire (çdâq) en verse 20 au nom de ce dernier (açdaqa ‘anhu), sous forme du tiers de sa propre maison qu’il habite.

Le conjoint part en voyage après s’être engagé par devant témoins et à la demande d’un parent de la mariée à revenir dans le délai d’un an faute de quoi elle pourra disposer de sa personne. L’année s’étant écoulée, le père du marié dit à la femme de faire abandon de son douaire et d’épouser qui bon lui semblera ; ce qu’elle fait.

-Désirant partir en voyage pour 2 ans, un époux demande à sa femme, qui accepte, de pourvoir seule à son entretien (nafaqa) pendant son absence ; en cas de refus, il l’aurait divorcée.

-Au cours d’une dispute, un mari prononce par serment un triple divorce en 1 fois, puis il reprend sa femme en se fondant sur l’opinion d’après laquelle une triple en une fois ne constitue qu’une divorce simple !