De Amicis Edmondo, Ambassade à Tanger et Fez, 1876

DE AMICIS
TANGER

DE tous les détroits dans le monde, celui de Gibraltar sépare, peut-être le plus complètement que tout autre, deux pays des plus différents, et cette dissemblance est la plus sensible en venant de Gibraltar.
Ici encore le bruit, la fièvre, la vie brillante d’une ville européenne, et le voyageur, quelle qu’en soit l’origine en ‘Europe se sent encore chez lui dans d’innombrables coutumes familières et sur tous les aspects de la vie quotidienne.

Trois heures plus tard, et même le nom de notre Continent sonne étrangement ; il signifie l’ennemi chrétien, et notre civilisation y est inconnue, crainte, ou bafouée.
Tout, depuis les fondements mêmes de la société jusqu’aux détails les plus insignifiants de la vie privée, est métamorphosé, et toute signe de la proximité de L’Europe a complètement disparu. Nous nous trouvons soudainement dans un pays inconnu, sans lien d’aucune sorte, et avec tout à apprendre.
Bien sûr la côte européenne est encore visible de la rive, mais dans nos cœurs il ya la prise de conscience de la distance immense, comme si cette étroite bande d’eau avait été un océan, ces collines lointaines une illusion.

[…]
L’émotion que l’on peut naturellement s’attendre à ressentir, cependant, en mettant le pied pour la première fois sur ce vaste continent mystérieux, qui hante depuis longtemps notre imaginaire est malheureusement perturbée du fait du mode de débarquement. Tout comme les maisons blanches de Tanger a commencé à être nettement visible depuis le pont du steamer, un espagnol, debout derrière moi s’écria: «Que veulent ces gens ? ” En suivant son index tendu, je vis, au-delà des bateaux qui venaient prendre les passagers à descendre, une foule en haillons, des Arabes à moitié nue debout à mi-hauteur dans l’eau, et montrant le navire les uns aux autres avec des gestes excités, comme autant de fous, ou plutôt comme une troupe de brigands en s’écriant: « Il est notre proie ! »

Sentent un peu mal à l’aise dans mon esprit, ne sachant pas qui ils étaient, ni ce qu’ils voulaient, je descendis dans le bateau, avec un certain nombre de mes compagnons de voyage.
Lorsque nous étions encore une vingtaine de pieds de la rive la populace entière se rua sur nous, mettant sa main violente sur nous, et criant en arabe et en espagnol, jusqu’à ce que nous ayons finalement compris que, l’eau étant trop peu profonde pour prendre les bateaux de plus loin, nous devions accoster sur le dos des hommes[…]. Les dames furent retirés dans des fauteuils, dans une sorte de procession, alors que je fis mon entrée en Afrique sur le dos d’un vieux mulâtre, mon menton appuyé sur la couronne de son tête et mes orteils à glissant sur l’eau. J’atteignis la terre ferme mon mulâtre me remis à un porteur arabe, qui, ouvrant la voie par l’une des portes de la ville, me conduisit rapidement le long d’une rue étroite et effilée vers un hôtel voisin, d’où je ne perdis aucune minute avant d’être accompagné d’un guide, pour visiter les rues les plus fréquentés.

La première chose qui m’impressionna, fut l’accoutrement de la population. Tout le monde porte
un drap blanc ou une longue cape de laine, dotée d’une capuche, qui, dans la plupart des cas est rabattue sur la tête, de sorte que toute la ville a un peu l’aspect d’un vaste monastère de moines dominicains. Ainsi enveloppée, une partie de la population se déplace lentement, posément, presque comme s’il essayait d’échapper à l’observation, et l’autre reste assise ou étendue de tout son long le long des murs, devant les magasins, ou à l’angle des bâtisses, le regard fixe, comme des personnages pétrifiés dans leurs propres légendes. Leur démarche, ce faisant, très recherchée, nous est étrangère, tout révèle un usage de la pensée, un ordre de choses tout à fait différente du nôtre ; totalement différente en ce qui concerne le temps et la vie humaine. Ces gens ne semblent pas trop préoccupés par leurs propres affaires, non plus qu’ils ne se sentent concernés par leur environnement immédiat, ni à leur sujet. Ils ont tous une expression distraite et vague, comme s’ils […] rêvaient les yeux ouverts. A peine, aussi, me suis-je mêlé à eux que je pris conscience d’une odeur particulière très différent de tout ce que j’avais remarqué dans la foule européenne. Des effluves inconnues,
loin d’être agréables, que j’inhalais pourtant avec une vive curiosité, comme si j’espérais en découvrir le mystère.

L’approchant de plus près, la population, qui, à une courte distance semblait être complètement uniforme, commença à présenter une étrange variété de types. Des visages blancs, noirs, jaunes, ou bronzes passaient à ma portée ; têtes nues desquelles pendait une longue mèche de
cheveux, et d’autres rasées et polies au point qu’elles brillaient comme des billes de métal, et les personnes âgées ressemblaient à des momies desséchées. C’était horrible, les femmes dont la tête, et, de fait, le corps entier, étaient enveloppées dans des masses informes de haillons, des enfants aux cheveux longs, les visages des sultans, des sauvages, auxiliaires, anachorètes, bandits ; d’un peuple oppressé d’une infinie mélancolie, d’une indicible lassitude, et peu ou pas de sourire se suivant les uns les autres à pas comptés, le silence, spectrale, comme une procession d’esprits sur la voie d’une cimetière.

Je ne sais pas pourquoi, mais comme je l’ai regardé, je me sentis tout à coup obligé de me tourner en moi-même et de me dire, : « je suis un tel, de tel ou tel lieu, c’est l’Afrique où je suis maintenant, et
ces gens sont des Arabes », et de méditer ce fait quelques instants avant de pouvoir ancrer cette idée en mon esprit.

La cité correspond au caractère des fourmies qui la peuple. Il s’agit d’un labyrinthe de ruelles étroites et tortueuses, ou plutôt les passages, flanqué de petits cubes, des maisons blanches, dépourvues de fenêtres, et dont les portes uniques admettent à peine le passage d’une personne, demeures apparemment bâties plus comme cachettes que comme habitations, et dont l’extérieur suggère un croisement entre une prison et un couvent.

Dans nombre de rues on ne voit rien sinon la blancheur des édifices et le bleu du ciel ; de temps en temps un petit arc mauresque ou deux, puis une fenêtre arabesque, une bande rougeâtre au pied du mur, ou une main peinte en noir près d’une porte de sorte à chasser les mauvais esprits. Presque toutes les rues sont jonchées de légumes pourris, de plumes, de chiffons, d’ossements, et parfois des viscères d’animaux morts qui empestent l’air. De loin en loin, un groupe d’arabes encapuchonnés, des bambins jouant ou récitant des versets du Coran d’une voix aigue et nasillarde, un mendiant étendu sur le sol, un Maure sur sa mule, un âne surchargé et dont un arabe à demi nue saigne les flancs, quelques chiens sans queue, quelques chats incroyablement maigres.

En passant, on perçoit une odeur d’ail, de fumée de Kif, de bois d’aloe, de benjoin, de poissons. Et ainsi, j’errais à travers cette ville présentant partout la même blancheur éblouissante et invariable, le même aspect de mystère, de mélancolie et de lassitude.

Petit Socco
Je retournai alors à la principale, voire à la seule place de Tanger, coupée d’une longue rue qui, de la berge, traverse toute la ville. La place est entourée de misérables commerces arabes, donnant ainsi la même méchante et désespérante image qu’un de nos plus petits villages. D’un côté se trouve une
fontaine toujours entouré d’une foule d’Arabes et de nègres, qui y puisent leur eau dans des gourdes et des cruches et, à toute heure de la journée, 8 ou 10 femmes, assises sur le sol en train de vendre du pain.

ON y trouve aussi les très modestes établissements des légations étrangères, qui, cependant, parraissent tels des palais au milieu des petites maisons mauresques. Dans ce petit espace se concentre toute la vie de Tanger, qui est, au mieux, la vie d’un rude village.

On peut y trouver un marchand de tabac solitaire, un apothicaire solitaire, un café solitaire doté d’une grande salle avec une table de billard et dans un coin solitaire on peut parfois s’attendre à trouver un avis affiché. Ici s’assemblent des gamins à moitié nue, de riches Maures nonchalants , des juifs venus débattre de questions commerciales, des porteurs arabes attendant l’arrivée
de la vapeur, des étrangers à peine débarqués, des interprètes, des mendiants.

On porte le courrier officiel du sultan depuis Fès, Méquinez, ou Maroc, on se bousculent pour des nouvelles pertinentes de la mission à Paris ou à Londres. Ici se mêlent belles du harem et épouses de ministres, chameaux des Bédouins et chiens de salon, turbans, chapeaux rigides, tandis qu’émergent par la fenêtre du consulat les notes d’un piano, le gémissement venu de la Mosquée pénètre par la porte à demi-ouverte. C’est à cet emplacement que le dernier flot de la civilisation européenne se dissout devant la puissance de la barbarie africaine.

Grand Socco
De la place je gravis la rue principale, et passant par deux anciennes portes trouvé je me trouvai hors de la ville alors que s’installait le crépuscule. Un grand espace ouvert couvre le flanc d’une colline. C’est ce qu’on appelle la Suq d-Barra, marché extérieur ou supérieur, car le marché s’y tient chaque dimanche et jeudi. De tous les points de Tanger que j’avais visité, ce fut peut-être celui qui impressionna le plus vivement mon esprit du caractère de son peuple. Il s’agit d’une bande de terre nue et brute, en pente jusqu’aux quatre murs blancs de la tombe d’un saint, au sommet se trouve un cimetière, au-delà on découvre quelques aloe et des figuiers de barbarie, et en-deçà, les murs crénelées de la ville. A ce moment, un groupe des femmes arabes étaient accroupis sur le sol près de la porte, avec des bouquets d’herbes devant elles, un longue file de chameaux étaient accroupis près de la tombe, plus loin on distinguait les contours sombres d’une demi-douzaine de tentes, et quelques Arabes assis en cercle écoutant fascinés, le récit d’un conteur, qui se tenait debout au centre, et des vaches et des chevaux attachés. Au sommet d’une colline, au milieu des pierres et des monticules du cimetière, d’autres Arabes se tenaient imobiles comme des statues, avec le visage tourné vers la ville […].

[…]
Plus tard, quand la nuit était un peu avancée, je décidai de faire un autre un tour en la ville pour la voir endormie, aucune lumière ne brillait, aucune fenêtre n’était éclairée, il ne se trouvait nulle fissure ou fente par laquelle un rayon de lumière eut put s’échapper. C’était comme une ville inhabitée, illuminée seulement par le ciel étoilé contre lequel les maisons les plus élevées se détachaient comme autant de grandes stèles blanche, tandis que les pointes des minarets et les gerbes de palmiers formaient l’unique relief éclairé.

M’avançant jusqu’à la Grand Rue, je trouvai les portes closes […] A deux ou trois reprises, je heurtai ce que je confondis au premier abord avec des paquets de chiffons, mais qui se trouvaient être des Arabes endormis. Plus d’une fois un frisson de dégoût me parcourut lorsque je comprenais, par le contact d’ossements qui craquaient sous mes pieds, que j’avais marché sur la carcasse d’un chien. Un capuchon arabe se glissa près de moi, le long du mur comme un spectre. […]Dans une allée, je rencontrai un nègre portant une lanterne, qui, s’arrêtant pour me laisser passer, murmura quelques mots inintelligibles.
Débouchant d’une rue latérale sur la place un subit éclat de rire rompit le profond silence, il venait de deux jeunes hommes en haut de forme, attaché sans doute à l’une des légations avoisinantes. […]

[…]

Mon premier soin, une fois seul, fut d’étudier l’habitation dans laquelle je devais être herbergé [demeure d’un ministre plénipotentiaire…] Le bâtiment lui-même n’était en aucune façon remarquable, ses murs blancs et nus, un petit jardin devant et un petite cour au centre, muni de quatre colonnes supportant une galerie couverte en cours d’exécution au niveau du deuxième étage. La femme de ménage et le cuisinier étaient Piémontais, l’un des employés était un Maure de
Tanger, lui et un autre négresse du Soudan allaient pieds nus, les palefreniers arabes et les domestiques portaient de longues tuniques blanches, le garde consulaire un uniforme composé d’un fez, d’un caftan rouge et d’un poignard. Tous étaient en mouvement constant tout au long du
jour. A certaines heures il y aurait une grande allée et venue d’ouvriers juifs, de porteurs nègre,d’interprètes, de soldats du pacha, et de Maures Protégés par la légation. La cour était remplie
de caisses, de lits de camp, de couvertures et de lanternes. Il y avait un bruit continuel de scies et de marteaux, couvrant à peine la voix des serviteurs qui s’appelaient les uns aux autres par leurs noms familiers tel Fatima, Selam, Mohammed, Ali, Abd-er-Rahman…
Il y avait aussi un tel mélange étrange de langues. Un Maure devait expliquer certaines commissions en arabe à un autre Maure, qui le transmettait en espagnol à la gouvernante, qui le répètait en piémontais au cuisinier, ce qui était autant de confusions dans la traduction, d’explications et de malentendus, de doutes, mêlés à ces exclamations « Por Dios » ! Awa !

Dans la rue une procession continue de chevaux et de mules, devant la porte un groupe permanent composé des simplement curieux et d’autres, pauvres diables d’Arabes ou de Hébreux, les aspirants humble pour la protection de la légation. De temps en temps les visiteurs arrivent, un ministre ou un consul, puis vers le bas vont tous les fez et turbans en obéissance humble. A chaque instant, apporte
certains mystérieux messager vêtu de costumes étranges, et curieux, des traits étrangers prospectifs. Alors picturesque est la variété sans cesse changeant de forme et de couleur, de pose et le geste, que seuls les accompagnent la musique est nécessaire pour convaincre le spectateur qu’il est tous partie d’un ballet qui représente quelque Est scène.

[…]

Chaque fois que je passe un Maure belle en robe de gala J’ai honte. Comparer mon chapeau laid avec son grand turban de mousseline; mon manteau misérable avec son flow à court- ING caftan de jasmin ou de rose de couleur, bref, la gen la pauvreté générale et de tristesse de mon costume, tout gris et noir, avec l’éclat, l’élégance simple et de la dignité de son. Je suis comme un scarabée, mais à côté d’un- papillon. Parfois, je suis depuis si longtemps regarder de ma fenêtre au bord d’une paire de rouge-sang pantalons surmontant une pantoufle jaune qui peut être vu au coin d’un pilier dans le carré-être faible, l’extraction de jouissance de la vue qu’il est difficile de me détacher, et plus que tout- chose d’autre ne l’caik éveiller mon envie et admiration tion, que longue bande de laine ou de soie blanche, avec des trans- rayures parent, qui est pliée d’abord de le turban, tombant de là, vers le bas du dos à être enroulé autour le corps, noué sous les épaules, et descendre, Enfin, sur le sol. Enveloppant, pour ainsi dire, dans un brumeux brouiller les teintes brillantes de l’habillement-dessous, elle remue, se propage à chaque souffle de vent, brille comme le feu dans les rayons du soleil, et confère à l’utilisateur avec l’apparition diaphane d’une vision. Il est cette écharpe de charme qui séduit les musulmans enveloppements au sujet de son épouse la nuit de noces.

Seuls ceux qui ont vu pour eux-mêmess ont maîtrisé l’art de prendre leurs aises. Dans les coins où nous serait embarrassé de savoir comment vous débarrasser d’un sac de chiffons ou une botte de paille, l’un d’eux stretch lui-même comme confortablement que si reposant sur une lit de duvet. Ils se courbent autour tous les projection, remplir les creux, s’aplatir le long de la face à un mur comme un bas-relief, étirement et répartis plat sur le sol jusqu’à ce qu’elles ressemblent manteaux blancs
mis à sécher, se rouler en boule, des cubes, monstruosités sans bras ni jambes ou la tête, de sorte que parfois dans les rues et les places de la ville propose la scène d’un massacre fin, tous les jonchée de morts organes et des cadavres mutilés.

Plus j’observais de ces gens, plus j’étais rempli d’admiration à la liberté envers la noblesse de leur port. Est-ce en raison de nos vêtements trop étroits, ou bien n’est-ce que la conséquence de l’habitude, je ne saurais le dire, mais il est rare parmi les notre de rencontrer quiconque dont le pas n’est pas artificiel, alors qu’ici, tout le monde se déplace avec la grâce et la magnifique liberté d’animaux sauvages. […] Il y a dans la démarche de chacun d’eux quelques- chose de la majesté d’un prêtre, de la dignité d’un roi et de la liberté d’un soldat, et il est remarquable que ces gens qui passent tant de temps étendus de tout leur long, immobiles, dans un état de semi-torpeur, puissent voir leurs passions un tant soit peu suscitées et présenter alors une résistance et une vigueur dans le timbre et le geste qui frôle dès lors la frénésie. Mais même dans ces
débordements furieux, ils conservent encore une sorte de la dignité tragique qui donnerait un excellent exemple à beaucoup d’acteurs. Il me faudra longtemps, par exemple, avant que je n’oublie l’arabe qui, ce matin là, un très vieil homme, lequel, après avoir compris le mensonge de celui avec qui il n’avait qu’un léger différent, devint subitement pâle, recula, puis partit dans la rue, se couvrant le visage convulsivement avec les deux mains et en donnant libre cours à un cri sauvage de colère mêlée de reproche. Je n’ai que bien rarement vu une attitude si frappante et si pleine de grâce.

Hayk :
Le costume ordinaire se compose d’une simple mante blanche, mais quelle variété extraordinaire ils parviennent à introduire dans cette mode ! L’une est ouverte, l’autre fermée ; celle-ci tirée d’un côté, rabattue sur l’épaule, tordue comme une corde, ou encore flottant librement, mais toujours aménagée avec goût en une variété infinie de lignes, comme si par le drapé était le fait d’un artiste, ou plutôt comme si un artiste voulait apprendre à le réaliser. Ils parraissent tous tels des sénateurs romains.Ces mantes ne suffisent cependant pas en eux-mêmes à conférer la dignité à ceux qui les portent. Certains d’entre nous en ont achetés pour le voyage et l’ai essayé, mais nous ne ressemblions à rien de mieux qu’un groupe de vieux convalescents enveloppés dans nos draps de bain.

Hommes
Je n’ai vu aucun nain, déformé ou boiteux parmi les Arabes, bien que beaucoup d’entre eux n’aient pas de nez, conséquence de la syphylys, ou la cécité ici très commune, avec des orbites le plus souvent entièrement évidées, spectacle qui le fait toujours frémir, résultant dans certains cas de l’ablation des globes oculaires en application de la loi du talion, qui sévit encore dans l’empire.

[…] L’apparence de leur peau, de bois, d’argile cuite ou de bronze dissimule les différences d’années, de sorte que l’on rencontre constamment des hommes dont l’âge est impossible à dire, pas les personnes âgées, sans doute, et pourtant, elles ne semble pas jeunes, peut-être les voyons nous âgées, et puis un sourire fugitif révèle leur jeunesse, ou bien, après avoir définitivement décidé qu’ils sont jeunes, leur capuche se rabat brusquement et expose une tête grisonnante.

Juifs :
Les juifs de ce lieu ressemblent à leurs compatriotes européens dans la mesure où leurs caractéristiques sont évidentes, mais leur taille est supérieure, leur peau plus foncée, leur cheveux longs et noirs, et, surtout, leur robe si pittoresque, les faire paraître comme un tout à fait différents. Ils portent un vêtement ressemblant une peu à une robe de chambre, dont la couleur varie, mais qui est en général sombre, et liée à la taille par une écharpe rouge, à quoi s’ajoute un bonnet noir, un ample pantalon dépassant de quelques cm seulement au dessous de la « jupe », et des pantoufles jaunes, et il est intéressant de noter combien ils sont “élégants”. Certains sont vêtus des matériaux les plus fins, avec des chemises brodées, des écharpes de soie, des bagues en or et des chaînes d’un rien mauvais goût.

L’effet général est à l’inverse plutôt sévère, tout en étant gracieux et digne, exception faite pour els quelques égarés qui ont adopté le haut de forme et le manteau noir. Chez les bambins, les visages sont légers et gracieux, mais l’espèce de robe de chambre généralement utilisée ne s’adapte pas à leur âge. […]

J’étais déjà convaincu que ce qui avait été dit sur la beauté des juives du Maroc n’était nullement exagéré, elles ont un caractère opulent et brillant qui leur est propre et inconnu des autres pays, la beauté de leurs sourcils, leurs grands yeux noirs, leurs lèvres pourpres et leur forme sculpturale, un peu théâtrale, sûrement, et facilement visible à distance; plus propre dois-je le dire, à provoquer une salve d’applaudissements qu’un soupir amoureux. […] Les Juives de Tanger ne portent pas leur riche costume national en public, elles se vêtent à peu près comme les européennes, à la différence de leurs couleurs fantasques : bleue Mazarin, pourpre, vert gazon, jaune soufre ; châles et jupons qui attirent l’œil à distance[…]. En passant par le quartier juif un Shabbat, on voit de tous côtés des couleurs vives, des visages fleuris, de grands, yeux doux et souriants yeux, de longs cheveux noirs ; des enfants curieux, une exubérante jeunesse et une sensuelle beauté qui offre un contraste saisissant avec le silence et la solitude austère du reste de la ville.

Les garçons arabes me font rire. Les petits, à peine capable de trottiner, mais enveloppé ainsi dans leur universelle cape blanche, dont la grande capuche seule apparait. La plupart d’entre eux ont la tête rasée nue comme le dos de la main, sauf une unique mêche d’un pied ou deux , comme
si leurs propriétaires avaient accrochés à leur crâne de petits animaux de compagnie, d’autres le portent derrière l’oreille, quelques touffes de cheveux coupés sous la forme d’un carré ou d’un triangle permettent de reconnaître le dernier-né d’une famille. Pour la plupart, ils ont de petits visages clairs et attrayants, maigres, et une expression d’intelligence précoce. Dans les quartiers les plus fréquentés de la ville, ils ne prêtent aucune attention aux Européens, et se contentent, dans les rues secondaires, de les regarder fixement, comme pour dire dans leur barbe : «Je ne vous aime pas.”

Parfois, il est tenté de crier quelque impertinence, et on peut voir ses yeux briller et ses lèvres frêmir , mais il est souvent possible d’y échapper, non pas tant en raison du respect pour le Nazaréen que de la crainte de papa, qui respecte l’atmosphère qui entoure la légation. Dans tous les cas, cependant, une pièce de monnaie aura un effet pacificateur, même s’il faut être prudent pour ne pas marcher sur leur mêche, ce qui m’arrivai en marchant à reculons sur une petite créature d’un pied de haut, qui se retourna vers moi comme une petite vipère, crachotant quelques mots, que mon interprète traduisit ainsi : « Puisse Dieu faire rôtir ton grand-père, maudit chrétien ! ”

Enfin, j’ai vu deux saints, c’est-à-dire deux idiots ou deux fous car ici, comme ailleurs en Afrique du Nord, il est de coutume de vénérer comme saints ceux que Dieu, en signe de faveur spéciale, a dépourvu de raison afin de leur promettre le ciel. Le premier que j’ai rencontré était assis face à un magasin dans la rue principale. Je l’observais à quelque distance, il se tenait immobile, sachant bien que tout est permis pour un saint, prennant soin de ne pas être frappé à la tête à coups de bâton, comme M. Sourdeau, le consul français, ou de se faire cracher au visage, ce qui arriva à Mr Drummond. Mais mon interprète me poussa vers l’avant, disant qu’il n’y avait pas de danger, puisque les saints Tanger avaient recouvré un peu de leurs sens depuis que les légations avaient faits quelques exemples frappants, et surtout car les Arabes font souvent boucliers eux-mêmes plutôt que de permettre à un saint de se compromettre. En conséquence, je passai près de cet épouvantail particulier et l’examinait attentivement. C’était un vieil homme, tous les ventre et le visage couverts de longs cheveux blancs et d’une barbe éparse qui descendait sur la poitrine ; sur la tête, il portait une couronne de papier, un manteau rouge déchiré au travers des épaules, et il portait une lance légèrement dorée à la pointe. Il était assis sur le sol, les jambes croisées sous lui, le dos contre le mur, les yeux observant avec lassitude les passants. Je m’arrêtai brièvement, et il me regarda.

«Maintenant, pour elle,« je pensais; “Voici la lance!” Mais la lance a été disindiscrètes, et j’ai été plus que surpris par la calme inteldu renseignement pour les yeux et le sourire, astucieux et la flotte ING, qui les éclairait un instant que je regardais, comme s’il pensait “Vous voulez me faire jeter dans votre dos, vous? à jouer le fou? “Il a été sans aucun doute un de ces imposteurs qui, parparfaitement sain d’esprit, faire semblant d’être fou afin de profiter les privilèges accordés aux saints. Je lui jeta un pièce de monnaie, vu l’air d’indifférence affectée rence avec laquelle il la ramassa, et a procédé à l’ direction de la place, que j’avais à peine atteint quand je suis tombé sur une autre, mais cette fois un véritable saint. Il était un mulâtre, presque entièrement nu, avec
un visage qui était à peine de l’homme, incrustée de la tête aux pieds avec de la terre, et si usé que son image entière pourrait être considérée os par os, faisant de lui ressembler le “prodige de vie” dans un spectacle. Il se promenait lentement autour de la place, douloureusement portant une grande bannière blanche, qui les garçons ont couru jusqu’à baiser de temps à autre, tandis qu’une autre créature misérable à la recherche, accompagné de deux musiciens qui jouent frénétiquement
sur un fifre et du tambour, demanda l’aumône de boutique en boutique. J’ai passé près de lui, de recevoir un regard de côté, qui je suis rentré, après quoi il s’est arrêté, et semblait se préparer quelque chose dans son la bouche, et je suis passé aussi agile que possible, en tenant bien soin de ne pas regarder derrière. “Vous avez bien fait pour obtenir hors de son chemin », dit l’interprète.” Avait-il cracha dans ta face, toutes les consolations les autres Arabes seraient vous avons offert aurait été de crier, t Essuyez pas ton visage, Christian chance ! Ne détruis pas les marque de la faveur de Dieu! Béni sois-tu, pour le saint naissain a sur toi !

[…]

La boutique des Maures est une affaire plus extraordinaire, consistant en une sorte d’alcôve d’environ 3 pieds carré, au sein de laquelle le client se présente comme à un guichet, il s’appuie contre le mur et le boutiquier reste assis à l’intérieur, une partie de ses marchandises étalées devant lui, et le reste sur des étagères disposées autour. L’effet produit par ces Maures barbu, immobiles comme des automates, accroupis au fond de leurs obscurs petits trous est extrêmement troublant.
Il est aussi mais pas leurs biens, mais ils étaient eux-mêmes sur exposition, comme vivre phénomènes dans les cabines à
une foire. Sont-ils en vie, je Sont-ils en bois?
Où est le mécanisme pour les faire apparaître et
disparaître? Et c’est ainsi que le silence et presque motion-
moins ils passent heure après heure toute la journée d’exécution
ning leurs doigts sur les grains d’un chapelet et mur-
muring prières. Il est impossible d’exprimer la façon dont
seul, ennuyé et mélancolique ils regardent, assis là.
On dirait que chaque magasin a été une tombe, dans
dont le propriétaire, déjà séparé du reste du
la vie, maintenant que l’entrée attendue de la mort.
J’ai vu deux petits garçons, environ cinq à six ans
vieux, respectivement, menée en triomphe,
après le rite solennel de la circoncision. Ils ont été
monté sur une mule blanche et parée de rouge, jaune-
faible et des vêtements vert brodé en or, et ainsi de
enfouies dans les fleurs et les rubans que l’on ne pouvait guère
voir les visages peu pâle, portant encore l’expression d’une
égarement peur. Avant le mulet, qui
a été drapée et caparaçonnés comme une bête appartenant à
redevance, marcha trois musiciens, jouant furieusement
sur un tambour, du fifre et du tambourin, de chaque côté
et derrière venaient les parents et amis, une
tenue de la firme enfants dans la selle, un autre retors
les sucreries avec, d’autres les chargés de
d’autres caresses, et encore tiré des coups de fusil en l’air,
en criant et en sautant tout le temps. Si je n’avais pas connu
l’importance de la cérémonie, j’aurais pris
ces garçons malheureux pour une paire de victimes dirigé
au sacrifice $ dans le même temps la vue n’était pas
dépourvue d’un certain charme poétique, bien que la poétique
partie aurait sans doute fait appel à moi plus
fortement si je n’avais pas été informé que le rite sacré
a été réalisée avec un rasoir de barbier.

Ce soir, j’ai assisté à une remarquable transformation
tion en la personne de Racma, nègre du ministre
servante. Un des autres agents venus de
la recherche de moi, et moi escorte sur la pointe d’un demi-
porte fermée soudainement jeté la porte grande ouverte, en s’écriant:
«Regardez Racma!” J’étais tellement stupéfait à la
apparition de la négresse, dont j’avais l’habitude
de voir aller sur le costume d’un très
esclave modeste, que pour un instant, je ne pouvais pas croire
mes yeux. Je l’aurais pris pour un es-sultane
capé du palais impérial, la Reine de Tim-
buctoo, une princesse de quelque royaume inconnu de
Afrique centrale y esprit sur la magie de Bisnagar
tapis. Comme je ne l’ai vue un instant je ne peux pas
décrire sa robe très particulier, mais il y avait un
aspect général de la neige-blanc et pourpre, et
un éclat de galons d’or de large, tous vu à travers la trans-
plis parent d’un grand voile blanc, qui a combiné
avec la face noire pour former une merveilleuse harmonie de
couleur et un effet de magnificence barbare que je
n’ai pas de mots pour décrire. Comme je l’approchait de
étudier les détails de plus près toute cette pompe de couleur
soudainement disparu, englouti dans la lugubre
plis d’une feuille mahométan, la reine a été trans-
formé en un spectre, et le spectre disparut, ne laissant
ING derrière elle que l’odeur nauséabonde de fauve particulière
à la race nègre, qui à la fois eu pour effet de de-
détruisant l’illusion.

Audition d’une raquette énorme sur la place je suis allé
à la fenêtre dans le temps de voir un nègre, nu jusqu’à la
taille, balade en dos d’âne. Une demi-douzaine d’Arabes armés
avec des bâtons entouré, suivi par une foule de
crier garçons. Pensant qu’il s’agissait d’une bêtise, je
ramassé mon verre à regarder de plus près, mais rapidement
recula horrifié en voyant que les taches sur le
pantalon blanc nègre ont été faites par le sang qui
coulait de ses blessures sur son dos. L’
Arabes avec des bâtons étaient des soldats engagés dans battu
lui. J’ai demandé à ce que cela signifiait. “Il a volé une poule»,
dit un des soldats de légation. “Lucky collègues,
ils sont évidemment va le lâcher sans limite
ting de sa main. ”

J’ai été à Tanger sept jours, et à ce jour
n’ont pas vu le visage d’une femme arabe. Je me sens
comme si j’avais été à un bal masqué où tous les
les dames se sont déguisés comme des spectres, il suffit de
comme font les enfants quand ils s’enveloppent dans
feuilles. Ils marchent très délibérément, faire de longues
étapes, leurs corps légèrement pliés et le visage couvert
avec le bord d’une sorte de manteau de lin, sous lequel
ils portent seulement une longue chemise, faite avec de larges
manches et serrée à la taille avec un cordon
comme une tunique de moine. Rien ne peut être vu de leur
personnes, mais les yeux, la main qui cache le
visage, le bout des doigts teints au henné, et le nu
pieds, aussi colorés avec du henné et chaussé de grandes, jaune
pantoufles en cuir. La plupart d’entre eux ne permettent la moitié de la
le front et un œil à comparaître, l’œil étant habituellement
sombre et la couleur de cire front. Lorsqu’il a rencontré
un Européen sur une route secondaire certains d’entre eux couvrent
l’ensemble du visage avec un mouvement rapide de la gêne,
rapprochant de la paroi lors de leur passage 5 autres personnes risque d’une
coup d’œil, la moitié timide, moitié curieux, tandis que quelques esprits audacieux
regarder en face de vous, de toute évidence désireux d’attirer au-
tention, puis baisse les yeux avec un sourire. La plupart des
d’entre eux, cependant, ont un air triste et las, l’air découragé.
Les jeunes filles qui n’ont pas encore été obligé de
couvrir leurs visages sont tout à fait charmant à la recherche, avec
yeux noirs, des joues rondes plein, le teint pâle, peu
bouche ronde et de petites mains et les pieds 5, mais par le
moment où ils sont vingt ans, ils ont déjà disparu,
à trente et ils sont vieux et décrépit à cinquante.

Il est à Tanger une sorte de monstruosité, une non-
créature chance dont il est désagréable, même à
regarder, si la différence d’un être humain, en effet, que même un
croyant trouve mal à l’aise doutes surgissent dans son esprit. Ils
appeler une femme, bien qu’elle ressemble à l’un aussi peu
comme elle le fait un homme. Elle est un mulâtre avec une tête comme
un orang-outang, court, cheveux hirsutes, la peau serrées
sur sa charpente osseuse, et des vêtements composé de quelques-uns
chiffons noirs. D’habitude, elle doit être considérée en position couchée
le milieu de la place comme un cadavre, ou bien
accroupi dans un coin silencieux et immobile, comme si
elle était inconsciente qui est, au moins, quand les garçons
ne sont pas de la tourmenter. Lorsque tel est le cas, elle
tourne sur eux avec des larmes et des cris. Elle pourrait
être âgé de quinze ans ou elle pourrait être trente ans, elle de-
conformité, il est impossible de dire, elle est sans
amis ou à la maison, on ne sait ni d’où son nom
elle est venue, la nuit, elle se trouve dans la rue parmi les
les chiens et les refuser, et dort la plupart des
jour, quand elle a quelque chose à manger, elle rit, quand
elle a faim elle pleure; par temps clair, elle est un
tas de poussière, quand il pleut, un tas de boue. Une
nuit, en passant, l’un de nous enveloppé dans un morceau d’argent
un bout de papier et le glissa dans sa main, de manière à
lui donner une agréable surprise quand elle se réveilla, le lendemain
jour nous l’avons constaté dans le milieu de la place sanglotant
violemment et présentant sa main, toute déchirée et saignent-
ING. Quelqu’un lui avait volé son argent et mal à son
dans la lutte. Trois jours plus tard je l’ai rencontrée, tout en
larmes, monté sur un âne, soutenu par deux soldats,
et suivie par un ramassis de garçons faisant partie de
elle. Quelqu’un m’a dit qu’ils étaient l’emmener à l’
l’hôpital. Pas plus tard qu’hier, je la revois, couché
endormi par la carcasse d’un chien plus heureux que
elle-même.

J’ai enfin découvert qui les justes, unprepos-
personnes sessing prospectifs sont ceux qui me l’octroyer,
en passant sur les voies les moins fréquentées, un coup d’oeil
dans laquelle il semble se cacher un désir continuel de
assassiner quelqu’un. Ils sont Klfs de la race berbère,
qui ne reconnaissent aucun droit, mais leurs fusils, et re-
connaître ni caïd, ni magistrat, audacieuse
pirates, bandits sanguinaires dans un état constant de re-
Bellion, qui habitent les montagnes de la Tetuan
côte à la frontière algérienne les habitants, en
Bref, de ce Bif renommée dans lequel aucun étranger
peut mettre le pied à moins qu’il n’ait la protection des
saints et cheikhs semblables, dont toutes sortes de sauvages
contes dit-on, le peuple voisin se référant à
en termes vagues comme s’il s’agissait d’une lointaine,
pays inaccessible. Ils sont souvent à respecter
à Tanger des hommes grands et robustes, généralement enveloppée dans un
manteau sombre bordée de petits glands multicolores;
certains d’entre eux ont le visage tatoué en jaune, et
tous semblables sont armés de longs fusils, les cas de rouge
qu’ils portent enroulés autour de leurs fronts, comme
turbans, ils vont par groupes, parler ensemble
à voix basse, la tête baissée et rapide, attentif
yeux, comme les partis de desperados à la recherche d’une victime;
et comparés avec eux, les plus sauvages à la recherche
Arabes que je rencontre ressemble à un ami de mon enfance.

Nous étions assis à table à la nuit tombée un soir
lorsque le rapport de plusieurs armes à feu a été entendu de la
carrés. Running out, nous avons pu voir, encore une bonne façon
off, un curieux spectacle. La rue étroite qui conduit
à l’Sok di Barra a été éclairé sur une certaine distance
par des torches grande tenue au-dessus de la tête des
foule, et ses environs ce qui semblait être une boîte
ou de la poitrine fouetté sur le dos d’un cheval. Cette Enig-
procession s’avançait lentement mathématiques accompagnés par
souches de la musique triste, traînant le chant nasal,
et le jappement de chiens. À elle seule pour certains
temps dans le milieu de la place, je surpris mon cerveau
dans l’effort de faire ce que l’importance de cette
procession lugubre peut-être, peut-être la poitrine
contenait un cadavre, ou à une personne condamnée à
la mort, ou une monstruosité, ou d’un animal destiné à la
sacrifice; cette incertitude a donné lieu à un sentiment de
rétrécissement et de répulsion, et, en s’éloignant avec un
frémis, je rentrai dans la maison. Un moment plus tard, le
d’autres sont venus parade avec la vraie solution de la
mystère. Le coffre contenait une mariée! qui son
parents menaient à la maison de son mari.

Une foule d’hommes et femmes arabes venons
à travers la place, précédé de six vieillards, chaque
portant un grand drapeau d’une couleur différente. Ils ont été
chanter une prière à voix haute voix des sup-
cation, et si triste un aspect que j’ai trouvé
moi-même très ému. Sur demande on m’a dit qu’ils
ont été implorant Allah pour la grâce de la pluie. Je sui-
les SSCO dans la direction de la principale mosquée,
et en arrivant à la porte sans savoir que dans ce
Chrétiens pays sont rigoureusement interdit de mettre pied
l’intérieur de la mosquée a été sur le point d’entrer, quand un vieux
Arabes se jeta devant moi, et en murmurant
quelque chose d’une voix émue que je comprenais à
dire un imbécile, que faites-vous! “me repoussa,
bien que l’on pourrait glisser un enfant à partir du bord
d’un précipice. Je fus obligé, par conséquent, être satis-
‘accord sur ce qui pourrait être visible de la rue de la
blanc-voûtée cour, et non pas, cependant, pénible
moi-même trop, après avoir visité le gigantesque
Mosquées de Constantinople, d’être ainsi exclus
de ceux de Tanger, où ils sont dépouillés de tous
beauté architecturale, les minarets seuls exceptés;
et même ces tours lourds carrée ou hexagonale,
recouverts de mosaïques multicolores, et surmontée
de tourelles aux toits de forme conique, ne doivent pas être
par rapport à ceux léger, gracieux minarets qui
tirer vers le ciel comme des arbres d’ivoire blanc de la
sommets des sept collines de Stamboul. Alors que je me suis levé
regarder dans la cour une femme a fait une motion
vers moi avec sa main derrière l’ablution-
fontaine aire. Je pourrais donner l’impression qu’il
était un baiser, elle flottait partout, mais je ne vais pas, le fait
être qu’elle a secoué son poing sur moi.

J’ai été à la Kasbah, le château sur la
sommet de la colline surplombant Tanger. Il s’agit d’un
groupe de petits bâtiments entourés de murs anciens,
où les autorités, les soldats et les prisonniers de résidence.
Je n’ai trouvé que deux sentinelles endormi à la recherche
assis devant une porte à l’extrémité d’un désert
carrés, et quelques mendiants étendu sur le sol,
brûlée par le soleil et dévorés par les mouches. De
ce point une vue d’ensemble de Tanger peut être
obtenus, qui s’étend loin du pied de la Kas-
bah murs et de l’escalade la colline opposée, du côté de. L’
œil presque réduit à partir de cette étendue d’éblouissement
blanc, seulement libéré ici et là par le vert de
certains figuier resserré entre deux murs. Vous pouvez
faire distinctement la terrasse de chaque petite maison,
les minarets des mosquées, les drapeaux de la légation, la chauve-souris
tlements sur les murs, la rive solitaire, le désert
baie, les montagnes le long de la côte un point de vue suffi-
suffisamment vaste, belle et imposante pour chasser
l’attaque la plus aiguë de la nostalgie. Comme je me tenais
en regardant cette scène j’ai été surpris par l’audience, loin
dessus de moi, les notes faibles tremblante d’une voix humaine
prononçant quelques mots dans une langue inconnue. Je
tourné et a regardé autour de moi un certain temps avant que je
enfin découvert une petite tache noire sur le sommet
d’une mosquée de la Casbah. Il était le muezzin
appeler les fidèles à la prière, et en prononçant les
les noms d’Allah et Mohammed à tous les quatre quarts
des cieux, la voix se tut, et une fois de plus la
morne silence de midi est tombé sur la scène.

C’est un vrai malheur d’être obligé d’avoir de l’argent
changé dans ce pays. J’ai donné le tabac une
franc français, à partir de laquelle je devais recevoir dix sous
dans le changement. C’est alors l’air féroce Moor
ouvrit un tiroir et se mit à retirer et jeter
vers le bas sur la poignée contre après quelques noirs,
battues à la recherche-pièces, jusqu’à ce qu’il y avait suffisamment de
make load ordinaire, un portier, puis, de les compter
plus rapidement, il a attendu avec espoir pour moi de remplir mon
poches. “Je vous demande pardon, dis-je, à la même
temps à essayer de récupérer mon franc “, mais le fait est
Je ne suis pas assez forte pour faire face à votre boutique. «Nous
Enfin compromis, je achat suffisant supplémentaires
cigares pour réduire le changement à une poche de qui
métal ridicule prospectifs, que j’ai emporté d’avoir
m’a expliqué. C’est une espèce de flou argent appelée,
en cuivre, dont l’unité est une valeur de quelque chose de moins
d’un centime, et qui est en diminution en valeur
tous les jours, que le Maroc est inondé avec elle, et le
mesure dans laquelle le gouvernement a inventé et de-
base, il peut être compris du fait que, tout en
il fait tous ses paiements à cet argent, il sera
recevoir seulement de l’argent ou d’or. Mais tout mal a son
bon côté, et donc ce flou, ce fléau de la com-
merce, possède le don inestimable de conjurer
toutes sortes de maux de la Moroccoans chance, le mal
les yeux dans especial, en vertu de la soi-disant de Salomon
joint, une étoile à six branches estampillé sur la face de
chaque pièce, et une copie de la bague d’origine qui
est enfermé dans le tombeau du grand roi, qui con-
contrôlée par elle à la fois esprits bons et mauvais.

Il n’y a qu’une seule promenade à Tanger, c’est la plage, qui s’étend hors de la ville dans la direction du Cap Malabat, une plage recouverte de coquillages et de mauvaises algues rejetées par la mer et brisées par les grandes flaques d’eau assez difficile à éviter à marée haute.
Ce sont les Champs Elysées de Tanger. La promenade-heure dans l’après-midi vers le soleil
ensemble. A ce moment, on pouvait voir environ 50 Européens monter et descendre en couples ou en groupes, sur 100 pieds de distance, de sorte que quiconque regarde au bas des murs de la ville peut facilement distinguer chaque individu à plus d’un mile. Voici, par exemple, une lady anglaise à cheval, accompagné d’un guide ; plus loin deux Maures du pays, après leur consul d’Espagne, avec son épouse, un saint ; puis une infirmière française, avec deux enfants, puis quelques paysannes arabes, et pataugeant dans l’une des piscines, les jambes nues au-dessus du genoux, le visage soigneusement recouvert,

et, au-delà au niveau intervals une casquette, un pot-chapeau, une coiffe blanche, un chignon, à la figure toute dernière, qui doit sûrement être celui de la Secrétaire de la légation portugaise, le port de la lumière pantalon, il a obtenu hier de Gibraltar; dans le présent
petite colonie européenne tout le monde sait tout sur tout le monde. Si elle n’a pas manquer de respect, Je dois dire que tous regardaient comme autant de criminaux en exil forcé, marchant de long, ou un parti des voyageurs qui étaient tombés entre les mains des pirates sur une île déserte, et regardaient que le navire arrivent avec leur rançon d’argent.

Il est presque plus facile de trouver son chemin dans la immensité de Londres que parmi cette poignée de maisons, ce qui pourrait facilement être glissé dans une coin de Hyde Park. Toutes ces ruelles, les quartiers, de passage moyens, à peine assez large pour passer à travers, sont les
bien vivante comme les cellules d’une ruche, et c’est seulement en donnant le plus d’attention à chaque minute peu détail que vous pouvez distinguer un quartier d’un autre. Jusqu’à présent, à peine puis-je quitter le carré ou la rue principale que je me suis empressé perdre moi, et en plein jour, il serait facile pour les un couple d’Arabes me pignon dans l’un des déserts les passages, gag, et me faire disparaître pour- jamais de la surface de la terre sans que personne étant une particule la plus sage. Et pourtant, un chrétien peut se promener seul à travers ce labyrinthe de jour ou de nuit et, parmi ces sauvages, avec une plus grande sécu- rité que dans certains de nos propres villes. Les pôles de une demi-douzaine de mât européenne se lever d’une voi- terrasse ennuyeux, indices inquiétants d’un être invisible la main, suffisent à assurer une sécurité qui n’est pas toujours établie entre nous par la présence des légions armées.

Quelle différence entre les civilisations de Londres et de Tanger ! Mais, après tout, chaque lieu a ses avantages. Nous avons là-bas de grands palais et le chemin de fer, alors qu’ici on peut sortir avec sa redingote déboutonnée.

Dans tous Tanger il n’y a pas un seul chariot ou du chariot, pas de bruit des ateliers, aucun bruit de cloches, pas de cri de rue-vendeurs, et vous ne verrez jamais aucune indication de la précipitation des personnes ou des choses. Même les Européens, tout à fait à une perte de quoi faire avec eux-
mêmes, passent des heures dans un temps immobile dans le carrés. Tout est dans un état de repos et en vites au repos. Moi-même, qui ont été ici, mais une quelques jours seulement, commencent à se sentir l’influence de ce soft, vie indolente. En arrivant à la Sok di Barra à jour,
Je me suis retrouvé irrésistiblement attiré vers la maison,
où, après dix pages de lecture, le livre a chuté
de ma main, et quand une fois ma tête était tombée
sur les coussins du fauteuil, je devais
répéter au moins deux chapitres de “Smiles” avant
Je ne pouvais me résoudre à l’augmenter, tandis que
la seule pensée de tout le travail et l’inquiétude attendent-
me ment à la maison m’épuise. Ces ciel bleu,
cette ville blanche, sont des images de monotone, éternelle
repos, peu à peu ils viennent à représenter
ceux qui habitent cette terre l’idéal du bonheur,
de la vie. C’est pourquoi mes notes sont interrompues à ce
point. L’indolence de l’Afrique m’a vaincu.
Parmi les nombreuses personnes qui bourdonnaient autour de
les portes de la légation il y avait un bel
Jeune Maure qui, dès le premier jour en particulier au-
me subdivisées. Il fut l’un des plus beaux Maures je
vu dans de grands Maroc, gracieux, avec le noir, la mélancolie
les yeux et un sourire particulièrement doux, le visage d’un amour-
lorn Sultan qui Danhasch, l’esprit du mal dans le
“Mille et Une Nuits /” peut-être remplacé par
du côté de la princesse Badoure au lieu de Prince Ca-
maralzaman, sûr qu’elle ne se plaignent pas de la
le changement. Il a été nommé Mohammed, et a été le
fils de dix-huit ans d’un More riche et de Tanger
sous la protection de la légation italienne; une matière grasse,
inoffensives musulman, dont la vie après avoir été à la menace
nécessité d’un certain temps par un ennemi, l’habitude de venir presque
tous les jours avec un visage terrifié pour implorer le minis-
ter de l’aide. Mohammed pourrait parler un peu d’espagnol à
la moresque, qui est, avec tous les verbes dans la
infinitif, ce qui lui a permis de faire connaître grattez-
ment à mes compagnons. Il avait été marié à une
Quelques jours auparavant, son père ayant arrangé le match
afin de lui faire s’installer, et ayant pré-
lui présenté avec une fiancée de quinze beau comme lui-
auto. Toutefois, le mariage n’avait pas, à tous semble-
ment, travaillé de grand changement en lui, et il a été
encore, comme il nous a dit, un Turc de l’avenir, qui consiste
en buvant un verre de vin de temps en temps en cachette,
de fumer un cigare occasionnels, étant très fatigué de Tan-
gier, fréquenter la société des étrangers, et chérir-
ING rêve de faire un voyage en Espagne. A cette jonction-
ture, cependant, l’attraction qui lui a attiré de nous
a été l’espoir d’obtenir grâce à notre influence par-
mission de rejoindre la caravane, et donc à visiter Fès,
grande métropole, ses Rome et le rêve de sa
jeunes de 5 à cette fin, il prend une douche arcs, des sourires et des
la main-pressions sur nous avec une prodigalité et la grâce
suffisante pour subjuguer le cœur de l’ensemble impérial
harem. Comme presque tous les Maures d’autres jeunes de son
station, il a tué le temps en flânant sur d’un
rue à l’autre, et de groupe à groupe, de discuter
le nouveau cheval de l’un des ministres, le départ
d’un ami pour Gibraltar, l’arrivée d’un navire, le
dernier vol, toutes sortes de womanish cancans, ou
d’autre assis immobile et taciturne dans un coin de la
place du marché, avec ses pensées qui peut dire-
où?

Avec ce beau fou est indissolublement lié
mes souvenirs de la première maison mauresque dans laquelle
J’ai mis les pieds, et le premier repas arabe à laquelle je risquais
ma digestion. Un jour, son père nous a invités à la norme DIN-
ner, une chose que je longtemps souhaité. Tard dans la même-
ING, en conséquence, précédé d’un interprète et es-
sans escorte par quatre fonctionnaires de la légation, après
filetage sombre nombreuses rues étroites, nous sommes arrivés
à une porte arabesques, qui se balançait de retour à notre ap-
approche comme par enchantement. Traverser un petit
nu, salle blanche, nous nous sommes retrouvés au cœur de
la mise en place. La première impression a été d’une
une grande confusion de personnes, une lumière étrange et un mar-
veilleux faste de la couleur. L’hôte de pointe pour répondre
nous accompagné de son fils et de parents de sexe masculin, tous les
portant de grandes turbans blancs, derrière eux, les
domestiques, tous cagoulés, et plus loin encore, dans les coins sombres
et sur le pourtour des portes, se demandant faces
des femmes et des enfants, tandis que, nonobstant les
présence de tant de gens, de leur règne sur tout un
un profond silence. Je me suis censé être dans une chambre
jusqu’à ce que, arrive à lever les yeux, je voyais les étoiles.
Comme toutes les maisons mauresques il était un petit édifice carré,
auprès d’un tribunal dans le centre, de chaque côté de ce qui
a ouvert deux longues pièces étroites, sans fenêtres,
avoir de grandes portes cintrées fermée par des rideaux.
Les murs extérieurs étaient blancs comme la neige, les corniches de
les portes dentiled, le pavé de mosaïque;
çà et là, de petites fenêtres doubles et niches
pour les pantoufles. La maison était en robe de gala, le pavage
ments recouverts de tapis; à côté des portes était tenu en haute
candélabres avec des bougies rouge, vert et jaune, sur
les tables étaient des miroirs et des bouquets de fleurs. L’
effet combiné de ces différents objets, en aucune façon
étrange en soi, est étrange à l’extrême. Il
avait quelque chose à ce sujet tous les ecclésiastiques, et en même temps
temps je me suis rappelé d’un théâtre ou la salle de bal de
un faux-semblant palais royal, et pourtant il avait une certaine
charme gracieux de ses propres. La disposition des
la lumière et des combinaisons de couleurs sont tout à fait nouvelle,
chargé d’une signification profonde sous-jacente qui cor-
a répondu à merveille avec tout ce que nous avait vaguement senti
et imaginaires de ces gens, comme si, pour ainsi
parler, elle était la lumière et la couleur de leur religion,
leur philosophie, et voyant l’intérieur de cette
logement, nous avons pour la première fois regardé dans l’âme de
la course.

Après quelques instants consacrés à des arcs et vigoureuse
poignées de main, nous avons été invités à assister à l’appart-
ment des nouveaux époux. I, avec les impertinences-
curiosité permanente d’un Européen, a tenté, mais en vain, de
répondre aux yeux de Mahomet. Sa tête était baissée, et
il se cachait sa rougeur à l’ombre de son
turban. Le nuptial-chambre fut un long, étroit,
appartement haute, ouvrant sur la cour. A l’extrême-
il ya la fin, d’un côté, se lit de la mariée, et op-
il composite qui de Mahomet, tous deux décorés de riches
tentures d’une teinte de pourpre magnifique, bordée
autour du sommet. Le sol était recouvert de grandes
tapis de Rabat, et les murs tendus de jaune et rouge
tapisserie. Entre les deux lits de la mariée trous-
Rousseau a été affichée accroché sur le mur; séjours, Petti-
manteaux, pantalons, vêtements peu étrange, inconnu
coupe, en combinant toutes les nuances d’un jardin fleuri en pleine
bloom 5 en laine, de soie, de velours 5 tressé et
couverts d’étoiles d’or et d’argent, comme la tenue de
certains enfants princesse en vérité un spectacle à faire d’un écrivain
le vertige et une actrice meurent d’envie. De
là, on nous conduisit à la salle à manger. Ici,
aussi, nous avons trouvé des tapis, des tapisseries, des bouquets de fleurs,
debout grands candélabres sur le sol, canapés, coussins-
ions d’une centaine de différentes couleurs entassés autour de la
murs, et deux lits richement parée, elle avait été
mariage de l’hôte-chambre, près de celui dont le
table était contraire à la mode arabe, qui
est de placer les plats sur le plancher et manger sans
fourchettes ou des cuillères, tandis que, en dépit du Prophète, nous
pris l’éclat d’un cercle de bouteilles vénérables cal-
calculé pour nous rappeler, au milieu de la voluptueuse-
Ness d’un banquet maure, que nous étions encore des chrétiens.
Avant de prendre nos places à table, nous assis-nous
mêmes les jambes croisées sur un tapis autour de l’hôte sec-
secrétaire, un beau turban Moor, qui fait le thé,
nous à le regarder, et a ensuite insisté sur notre compte
trois tasses chacun, selon la coutume, toutes les extravagances-
gantly sucré et parfumé à la menthe. Entre les
tasses, nous caressait la queue de cochon et rasé la tête d’un
jolie jeune des quatre, le plus jeune de Mahomet
frère, qui comptait furtivement les doigts pour être tout à fait
veiller à ce que nous avons eu cinq, comme les mahométans. Après FIN-
PECHE notre thé, nous nous sommes assis à la table de notre hôte,
d’être pressé, de consentir à porter nous entreprise
et a commencé un après l’autre participant de la fameuse
plats arabes, les objets de notre ardente curiosité. J’ai à-
viré le premier avec une grande confiance. Œdipe!

Mon premier mouvement fut de tomber sur la cuisinière. Chaque l’ombre d’expression qui pourraient croiser le visage d’un homme soudainement attaqués par des coliques, ou sur audition de la défaillance inattendue de son banquier, devait paraître sur la mienne. En un instant, je connaissais parfaitement comment une course qui mangeaient de la nourriture doit nécessairement croire en un autre Dieu et des points de vue fondamentalement différent de la vie humaine de la nôtre. Je ne peux donner aucune idée de la goût laissé dans ma bouche, sauf par moi-même comparant à un malheureux condamné à avaler le contentes de toutes les bouteilles et les boîtes dans un coiffeur mise en place. Il a été suggéré de savon, de cire, pommade, des onguents, des colorants, des cosmétiques, de chaque chose, En bref, la plupart inaptes à entrer dans une bouche humaine. À chaque nouveau plat, nous avons échangé des regards de terreur et de consternation. Les matériaux doivent avoir été bon, aussi, en eux-mêmes, car il y avait de la volaille, de mouton, du gibier et les poissons j énormes plats de l’aspect invitant, mais nage tout en les sauces les plus horribles, grasse, oint, parfumée, préparée en un tel homme-ner un peigne qui semblait un instrument plus approprié à plonger dans une fourchette entre eux que, et pourtant il était absolument nécessaire d’avaler un peu des deux, alors je réconforté moi-même en répétant intérieurement de ces lignes d’Aleardi:

Oh vita nella
Qualche delitto Icognito NE Pesa,
Qualche cosa si Espia,

La seule chose mangeable était le mouton rôti. Non même les Kuskussu, le plat national arabe, pré-
comparé avec le sol à peu près aussi bien que le son de blé,cuit à la vapeur et habillé avec du lait ou du bouillon une perfide imitation de risotto même pas ce fameux Kuskussu, dont beaucoup d’Européens vraiment, pourrais-je réussir à avaler sans changer de couleur. Et il ya était en réalité l’un des notre parti qui participerait à tous-chose, un fait consolant, cependant, car elle démontre
clairement que les grands hommes ne sont pas tous morts encore en Italie. À chaque bouchée, notre hôte nous interrogé avec des regards inquiets, et nous, avec les yeux sauvagement à rouler,
s’exclamait en chœur: «Excellent! délicieux!” et puis à la hâte avaler un verre de vin pour relancer notre d’amortissement courage. À un certain moment dans le repas il y eut un sursaut de la musique de la cour, qui nous a tous fait passer à nos pieds. C’était un parti de trois musiciens viennent, selon la coutume des Maures, pour animer la fête j trois Arabes avec de grands yeux et nez crochu, vêtu de rouge et blanc, en jouant un sorte de luth, mandoline une autre, et le troisième un petit tambour. Ils se sont assis juste en dehors de la porte de notre appartement, à proximité d’une petite niche dans laquelle ils déposé leurs pantoufles, nous avons repris nos places, le plats ont été une fois de plus passé autour de son tour (il avait vingt-trois en tout, si je me souviens bien, pas compter les fruits), nos expressions continué à changement, et les bouchons de voler. Peu à peu nos frelibations suivantes, le parfum des fleurs, les fumées de l’aloès passant de chassé-parfumerie est de
Fès, et que la musique sauvage arabes qui, à force de répétant sans cesse la même lamentation mystérieuse, se termine par la prise de possession de l’âme avec irrésistible vigueur, a provoqué une sorte de silence, l’ivresse mystique voler sur nos sens, et pendant quelques minutes chacun
d’entre nous semblait sentir la pression d’un turban sur sa front, d’une tête de Sultana sur sa poitrine. Dîner enfin terminé, nous nous levâmes et nous-mêmes dispersés la chambre, la cour et le vestibule, regardant autour de et en examinant tout avec une curiosité enfantine.

Dans chaque coin sombre était un Arabe, debout comme une statue,
enveloppé dans son manteau blanc long. Les rideaux avaient
été tirée en travers de la porte de la chambre nuptiale-,
et par la fente, on apercevait une grande agitation et
mouvement de voile sur la tête, les feux allaient et venaient dans
les fenêtres du haut, on pouvait entendre le bruissement gar-
ments et baissant la voix des personnes invisibles; tous les
vers et autour de nous, il a été un ferment de invisible
la vie, en nous disant que, bien que nous étions dans les murs
nous étions encore à l’extérieur, que la beauté, la
la tendresse, l’âme de la famille s’était réfugiée
dans ses recoins secrets; que nous étions l’exposition,
et que la maison est restée pour nous un mystère. Ultérieure
sur la gouvernante de la maison du ministre est apparu
de l’une des portes, elle avait été de faire appel à la
mariée, et s’écria, comme elle nous a dépassés, “Ah! si vous
ne pouvait voir ses 5 un tel cher petit bouton de rose, une créa-
ure du Paradis! “Et toujours la musique a maintenu son
lamentations du son, la fumée de la combustion d’aloès
monta dans l’air lourd, et nous nous sommes promenés
et regarda, notre imagination travailler, travailler, et
travaille encore, quand, enfin, nous avons émis à partir de cette lueur-
ING, ambiance parfumée, et dans un profond silence
notre chemin à la lueur d’une lanterne unique
travers les rues étroites et sombres.

Un soir, les nouvelles ont été adoptées à propos de
bouche à bouche que l’arrivée tant attendue d’un
parti de Aissowieh aura lieu sur les points suivants
jour. Le Aissowieh sont l’un des principaux re-
confréries religieuse du Maroc, fondée, comme tous les
le reste, sous l’inspiration directe de Dieu par un
saint nommé Sidi Mohammed-ben-Alssa, né à
Miquenès ya environ deux siècles, dont la biographie
se compose d’un long, considérant randonnées de miracles et de
aventures merveilleuses diversement raconté. L’
demande Aissowieh à avoir remporté la protection spéciale
du ciel par leurs prières constantes et l’exercice
de certains rites propres à travers laquelle ils continuent
vivant dans leur cœur pas la foi, exactement, mais une sorte de
l’exaltation, la fièvre religieuse, une fureur divine, qui
éclate de temps en temps à des actes sauvages de l’extravagance
et la férocité. Ils ont une grande mosquée à Fès
qui est le principal établissement de leur ordre, et
d’où ils ne demandent qu’à sortir une fois par an et la propagation
eux-mêmes dans des détachements de l’ensemble du em complet
Pire, la collecte de ces membres de la société peut
être dispersés dans les différentes villes et provinces,
de participer à des fêtes annuelles. Leurs rites, re-
semblage peu ceux de la danse et Howling-
Derviches de l’Est, consistent en une sorte de danse frénétique
accompagnée par des sauts, des contorsions et des cris, à force
dont eux-mêmes le travail jusqu’à ce qu’ils deviennent
de plus en plus excité, plus furieux, plus frénétique,
et tout à fait hors d’eux, le bois et le fer mouture
avec leurs dents, brûler leur chair avec braises,
se coupent avec des couteaux, manger de la boue et de pierres, à la déchirure
animaux vivants sépare et dévorent la chair fumante,
et enfin tomber sur le sol usé et inconscient.
Le Aissowieh que j’ai vu à Tanger n’a pas en-
dulge dans les excès tels que ceux-ci, et j’imagine
que très peu, et ils ont rarement, aller aussi loin dans
ces jours-ci, mais ce que j’ai vu était assez pour faire
une impression indélébile dans mon esprit. Le Belge
ministre nous a invités à assister à la vue de la ter-
course de sa maison qui donne sur la rue principale
de Tanger, le long de laquelle le cortège aurait
à passer pour atteindre la mosquée. Ils étaient attendus
pour arriver à environ dix heures du matin. Comme je l’ai
descendit de la porte Sok di Barra environ une heure
plus tôt dans la rue était déjà encombrées de monde,
et les toits des maisons couvertes avec les pays arabes et
les femmes juives, les couleurs éclatantes des robes dont les
fait les terrasses blanches ressemblent à des boîtes de grande
fleurs. A l’heure dite tous les yeux étaient tournés
vers la porte à la fin de la rue, et dans un
quelques minutes les précurseurs de la partie est venu en
de vue. Toute la rue était tellement bondé de monde
que jusqu’à ce qu’ils se tout près il était impossible de dis-
distinguer les Aissowieh des spectateurs. Pour
un peu de temps je ne voyais rien, mais un balancement
masse de têtes à capuchon, et au milieu d’eux, d’autres nus
celles qui apparaissaient et disparaissaient, leurs propriétaires
étant apparemment engagés dans frapper les uns les autres
environ. Au-dessus des têtes flottaient quelques drapeaux, et
de temps à autre un cri se pose simultanée de plusieurs
gorge. La foule avançait lentement, peu à peu
nous avons commencé à noter une certaine méthode dans les mouvements
de toutes ces têtes. Le tout formait un cercle,
ceux qui sont derrière eux une double ligne, au-delà a été
un autre cercle, et ainsi de suite. Mais de ce que je peux pour-
ne pas être parfaitement sûr non plus, dans ma vive curiosité
d’observer les individus eux-mêmes autant que
possible, il est très probable que l’ordre exact de la
mouvements de l’ensemble m’avez peut-être échappé. Dans
Au cours de quelques instants, les dirigeants du parti
ont été directement en dessous de notre terrasse. Ma première impression
a été un mélange d’horreur et de pitié. Il y avait deux
lignes des hommes face de l’autre, portant des manteaux et des
longues tuniques blanches, se tenant les uns aux autres par le
mains ou les bras ou les épaules, en gardant du temps avec leurs
pieds, se balancer, tourner la tête de gauche à droite,
et en donnant libre cours à un sourd, murmure, brisée
par les sanglots, étouffements, les halètements, et des interjections de
la colère et le désespoir. Rien que de Rubens La Pos-
% Sessed A Devilj ou Goya a assuré la liaison entre les morts, ou
Poe La Vérité sur le cas de M. Valdemar, pourrait
donner la moindre idée du regard sur ces visages. Ils
étaient livides, convulsée, les yeux fixes et de l’écume
bouche; fiévreux, épileptiques, certains portant un fixe,
sourire mystérieux, d’autres le blanc des yeux dont la
ne pouvait être vu, d’autres contrats, comme si avec
un spasme affreux, et d’autres qui étaient comme
de morts faces. De temps en temps, ils
faire un geste étrange les uns aux autres avec balançoire-
ING bras, et puis ce cri simultanée serait
se posent, piercing et terrible, comme de personnes recevant des
blessure mortelle j puis à procéder un peu plus loin
ils recommencent à danser, gémissant et la suppression de-
ING eux-mêmes, une confusion, la masse flambée des capots,
larges manches, les touffes velues, longues mèches, les chocs d’épaisseur de
cheveux divisée en bandes de serpent. Quelques-uns des
esprits les plus ardents montait et descendait entre les
lignes titubant comme des hommes ivres et heurtant
les murs et portes, d’autres semblaient être ravie en
une sorte d’extase, en marchant lentement le long droite, avec
tête renversée, les yeux mi-clos et la pendaison
bras, d’autres, complètement épuisé et plus
soit en mesure de crier ou de se tenir debout, ont été soutenus
sous l’aisselle, soit par leurs compagnons, ou balayée
sans résistance par la foule. La danse-être
vint de plus en plus désordonné et le bruit plus
assourdissant. Les chefs ont été secoués jusqu’à ce qu’il me semblait que
si les clavicules faut rompre, et terrible soupir-
Ings venaient de poumons surtaxé. De tous ceux
organes, puant de sueur, il se leva d’un malade
forcement odeur comme celle d’une cage d’animaux sauvages.
De temps à un moment ou un autre de ces convulsions
faces serait soudainement levé vers la terrasse,
et une paire d’yeux hagards regardant plein dans mon
propre cause-moi d’attirer précipitamment en arrière. De
à chaque instant j’ai l’impression vers l’intérieur du
scène subirait un changement. Maintenant, il semblait Noth-
ING, mais une mascarade extravagantes, et j’ai été
envie de rire, puis elle a suggéré de se délecte d’un
foule de fous, de malades dans le délire de
la fièvre, des ivrognes galériens, des hommes condamnés
à la mort qui cherchaient à étouffer leur ter-
ror, et mon cœur tout à coup contrat, seulement pour
oublier le tout instant d’après, mais le sauvage
beauté de la scène et me perdre dans artistiques en-
jouissance. Mais peu à peu le sous-jacent signifie-
ING de ce rite a pris possession de mon esprit, le sen-
sations qui ont été les délires de l’interprétation
de et que chacun d’entre nous doivent souvent et souvent
ont connu, la lutte de l’âme humaine
travaillant sous le poids de l’infini, se réveilla dans
moi, et demi-inconsciemment-je mettre dans ce tumulte
mots ce que j’ai compris. Oui, je pense toi, oh, mys-
puissance énorme et délétères, je lutte dans la portée
de la main invisible à toi; l’idée de toi m’accable;
Je ne peux pas le contenir; mon cœur est plein, ma raison
départ, cette enveloppe de la glaise est déchirée!

Et ils passèrent, le surpeuplement par, pâle, di-
shevelled, émettant des cris perçants de ce
semblait être leur dernier souffle. Un vieux scandale
l’homme, l’image d’un Lear frénétique, lui-détaché
auto de la procession et fait comme s’il
aurait anéanti ses cervelle contre une voi-
mur forage furent ses compagnons ne l’ont traîné
Remontez dans le temps. Un jeune homme est tombé sur toute la longueur
le sol inconscient, l’autre, ses cheveux flottants
sur ses épaules, le visage enfoui dans ses mains, se
par grandes enjambées, son corps penché vers la terre,
comme une malédiction de Dieu. Il y avait des Bédouins,
Maures, des Berbères, des nègres, des géants, des momies, des satyres
avec des visages de cannibales et des saints, des oiseaux de proie,
sphinx, des idoles indiennes, des furies, de faunes, de diables. Il
peut-être entre trois et quatre cents, et
en moins d’une heure, ils avaient tous passé. Le dernier
à venir, deux femmes (les femmes admises à la
l’ordre ainsi) qui ont regardé comme si elles avaient
éclatement été enterrés vivants et avaient ouvert leurs tombes
deux squelettes de marche, tout de blanc vêtu, les cheveux
qui pèsent sur leurs visages, les yeux fixes et mousse
ING bouche, complètement épuisé, mais toujours animés
par les mouvements convulsifs de laquelle ils se
ne semblait plus conscient j tordant, hurlant,
trébuchant comme ils sont allés, tout entre eux ont augmenté
la figure gigantesque d’un vieil homme, avec un visage comme
un assistant de cent ans, vêtu d’un balayage
tunique, qui, étendant deux longs bras décharnés,
posa ses mains sur la tête de l’un et l’autre de
leur tour à tour avec un geste de protection, en aidant
et de les élever à nouveau quand ils sont tombés. Derrière ces
trois apparitions, poussant et bousculant les uns les autres,
vint une foule d’Arabes armés, les femmes, les mendiants et les
enfants, l’ensemble de la foule barbare hurlements d’une masse
de la misère humaine, qui, versant dans la place,
disparu de notre vue.

Un autre spectacle intéressant d’être témoin de Tan-
gier est la fête qui est célébrée le Mahomet
anniversaire. Je pense que c’est peut-être fait un particulier
vive impression sur moi à cause de ma hap ayant-
il passé sur elle plutôt accidentellement.

Revenant un jour d’une promenade le long du rivage, je
entendu le bruit des canons étant déclenchés en l’Sok
di Barra. y hâter, j’ai tout d’abord ne pouvait guère
reconnaître la place, si bien qu’il a été méta-
phosed. De l’enceinte de la ville au sommet même de
la montagne, elle grouillait avec les Arabes, une entièrement blanche
et extraordinairement animé la foule. Il y avait, je
crois, que d’environ trois mille personnes en tout, mais
ils se mêlèrent et se déplaçait si constamment à
semble une illusion d’innombrables curieux optique. Dès
chaque butte, comme si assis sur tant de bal-
coniques, sont des groupes de femmes arabes, accroupis sur le
terrain dans la mode orientale, immeubles, leurs visages
tournée vers l’extrémité inférieure de la Sok. D’une
côté de la foule, la séparation en deux masses sombres, à gauche
un espace ouvert entre, par laquelle une troupe de chevaux
les hommes eux-mêmes lancés à plein régime, en ligne de bataille, à
en même temps l’exercice de leurs armes d’épaule, de l’
d’autres, des groupes d’hommes et de femmes s’étaient rassemblées sur les
les différents artistes certaines jouer au ballon, d’autres
l’escrime ou la danse, le serpent-charmeurs, conteurs,
musiciens, des soldats. Du sommet de la colline,
sous une tente a ouvert en face, on apercevait l’
énorme turban blanc de la vice-gouverneur de Tanger,
qui, assis sur le sol, au milieu d’un cercle
des Maures, a présidé la fête. De ce point
on peut voir ci-dessous dans la foule, les soldats appartiennent-
ING dans les différentes légations, vêtus de leurs pompeuses
caftans écarlate, quelques chapeaux haut, un parasol occasionnels
appartenant à l’une des dames les consuls, et les deux
artistes, Ussi et Biseo, de portefeuille et crayon à la main;
au-delà de la foule Tanger Tanger 5 au-delà de la mer.

Les rapports des armes à feu, des cris des cavaliers, sonnerie des cloches les porteurs d’eau », gay cris de femmes, la musique de tuyaux, de cornes, et des tambourins, tous les combinés pour former un tohu-bohu de ne pas être décrite, et a ajouté pas un peu à l’effet étrange produit par cette scène sauvage sous les rayons éblouissants du soleil de midi.

La curiosité qui m’a attiré dans une direction douzaine de-
tions à la fois, mais un cri d’admiration de certains
les femmes, près de Drew moi tout d’abord à un groupe de
cavalerie. Il y avait une douzaine de grands gaillards, le port
fez a atteint un sommet, capes blanc, orange, rouge et bleu
caftans, et au milieu d’eux un jeune homme habillé avec
élégance efféminée, le fils du gouverneur de la
Rif. Dessin en ligne au pied des remparts de la ville,
avec le visage tourné vers la campagne, le gou-
fils du gouverneur dans le milieu, ils levaient la main,
et d’un commun accord se mit à courir. Pour la première fois
quelques pas il y avait une certaine incertitude légère et dis-
l’ordre, puis les douze chevaux, avec des brides desserrées
et le ventre, même avec le sol, semblait être des parties
d’un seul corps un monstre furieux avec douze
têtes, de plusieurs couleurs, dévorant l’espace. Les coureurs,
cloué à la selle, la tête haute et les manteaux
flottant dans le vent, ont élevé leurs fusils en l’air, pression
les convulsivement contre leurs épaules, et a tiré,
en même temps, élever un cri simultané de tri-
umphant fureur, puis a disparu dans un nuage de poussière et
la fumée. Dans quelques instants, ils refont leur apparition,
assis leurs chevaux moussant et sanglante dans les attitudes
las de dédain, et actuellement la performance a été
remise en vigueur. A chaque nouvelle charge de la femme arabe,
comme les dames dans un tournoi, a salué les artistes interprètes ou exécutants
avec un cri particulier qui leur est propre, consistant en la
répétition rapide de la monosyllabe / w, ce qui semble
comme les exclamations de joie des enfants aiguë.

Ensuite, je suis allé voir une partie d’une quinzaine de
Arabes jouent ramasseurs de balles, hommes faits, et les anciens
à barbe blanche, certains avaient des fusils en bandoulière leur
les épaules, d’autres portaient des épées. La balle a été de
cuir, de la taille d’une orange. L’un d’eux
il a fallu, il est passé sur le terrain, et il a débuté dans
l’air, tous les autres qui essaient de l’attraper avant qu’il ne
diminué, et celui qui a succédé à faire que le premier
avait fait. Ainsi, le groupe de joueurs, l’intention de sui-
suivant le ballon, a obtenu plus en plus loin, jusqu’à ce que
dernière d’un commun accord ils sont retournés à l’endroit qu’ils
de départ. Mais le plus curieux sur ce jeu
a consisté dans les mouvements des joueurs. Ils
utilisé pas de danse, les gestes mesurés, des acteurs pose,
préserver un air qui était presque cérémonieux, et
contradictoires, ainsi, être à la fois courtois et vio-
prêté, tournoyait avec une sorte de rythme et de
la règle pour laquelle je n’ai pas pu découvrir. Ils
couru et sauté tous ensemble dans un espace loué,
serrant les uns aux autres et le brassage
sans échangeant un coup ou de faire la légère-
EST perturbation. La balle a volé en l’air, dis-
est apparu, délimitée au milieu de leurs jambes et au-dessus
leurs têtes, comme si personne ne l’avait touché et il
étaient détruits çà et là par contre
vents, et tout cela a été pénible effort non accom-
accompagnées d’un mot, une exclamation, ou un sourire. Vieux
et moins jeunes étaient parfaitement silencieux et graves,
et que l’intention sur le jeu comme si elle avait été
une tâche mélancolie qui leur sont imposées, pas de son
étant entendu d’autres que leur respiration haletante et le
crépitement de leurs pantoufles.

Un peu plus loin sur certains nègres dansaient dans
au milieu d’un autre cercle de spectateurs au son
d’un fifre et un petit tambour conique, battu avec un
bois bâton recourbé comme une demi-lune. Il y avait
huit d’entre eux, de grands gars solides, en noir et
brillant comme de l’ébène, rien porter mais un long-neige
tunique blanche serrée à la taille par un vert
cordon. Sept d’entre eux se tenant par la
la main ont formé un cercle autour de la huitième, et ils ont tous
dansé ensemble, ou plutôt gardé le temps de la musique
avec un mouvement des hanches indescriptible qui
mettre mes orteils en mouvement, et presque pas de changement de
position, portant sur leurs visages en même temps
ce sourire satyre-like, que l’expression de purement animal
la jouissance de la béatitude stupide propre à la race nègre.
Alors que je me tenais à regarder cette scène deux garçons d’environ
dix, qui étaient parmi les spectateurs-on, a donné un échantillon
de la férocité de la nature arabes que je ne suis pas
sans doute bientôt à oublier. Tout à coup, et sans
cause apparente, ils sautaient les uns des autres, et
fermeture comme un couple de tigres, ont commencé à se déchirer et à mordre
leurs visages et les cous avec des dents et des ongles, et
avec une fureur qui a été vraiment horrible à voir. Deux
hommes forts, en utilisant toutes leurs forces, a réussi, avec
certaines difficultés, à les séparer, et ont été obligés
de garder la main sur eux pour empêcher leur renouvellement de la
attaque.

Les tireurs étaient très drôles. Il y avait quatre
l’escrime avec des bâtons en paires, et il serait impossi-
ble de donner une idée de l’extravagance et awk-
arriération de «l’école». C’est ce que j’appelle une «école» ad-
visedly, parce que j’ai vu d’escrime du même style dans
d’autres villes au Maroc. Ils se livrent à des mouvements
comme ceux d’un danseur de corde, sauts parfaitement sans objet
dans l’air, contorsions du corps, coups de pied et coups
attentivement annoncée à l’avance avec des fioritures sauvages
des bras, chaque mouvement fait avec un bon de-
libération qui permettrait un de nos tireurs amplement
temps de se tenir sur ses gardes, et chaque combattant armé
avec un poids énorme de bois, sans qu’il y ait
le plus petit risque de quiconque reçoit tellement comme un
frapper. Le groupe de spectateurs arabes était, comment-
jamais, dans l’admiration, la bouche ouverte, un certain nombre d’entre eux
semble voler à moi de temps en temps pour voir si je
n’ont pas été frappés d’étonnement. Souhaitant
les satisfaire, je faisais semblant d’être heureux avec force, sur
certains d’entre eux se rapprochèrent pour
me pousser un peu plus à l’avant, et je actuellement
me suis retrouvé entouré de tous côtés par les Arabes, et
eu la chance que j’avais eu envie de faire une plus
étude de la race, de ces déplacer à peine perceptible,
ments des narines, des lèvres et des paupières, des marques
sur la peau, et l’odeur, bref, de tous ceux mineures
les détails qui échappent à l’observateur comme il passe le long de
les rues, mais qui, néanmoins, semblent expliquer
tellement. Un des soldats appartenant à l’italienne
légation me apercevant de loin, cernés dans
cette façon, et en imaginant que j’étais un ne veut pas
prisonnier, a insisté sur la libération moi si je
ou pas par le biais d’une utilisation gratuite des coudes et des poings.

Le groupe s’est réuni sur le conteur a été le
plus petite de tout, mais le plus frappant. Je l’ai rejoint
tout comme, la prière d’ouverture habituelles se termine,
l’orateur a été le début de son histoire. Il était un homme de
environ cinquante ans, presque noir, avec une barbe et une grande jetée
les yeux brillants, enveloppé comme toute l’histoire-Maroc
scrutateurs dans un grand drap blanc liée à la tête
avec une bande de poils de chameau, qui lui donnait quelque chose de
de la dignité d’un prêtre de l’Antiquité. Permanent
debout au milieu de son cercle d’auditeurs, il a occupé
suite lentement et à voix haut perchée, à l’accom-
gnement d’un tambour et un hautbois. Il peut avoir été
racontez une histoire d’amour, ou les aventures d’un
bandit célèbre, ou les vicissitudes d’un sultan de
carrière. Je ne comprenais pas un seul mot, mais
ses gestes étaient si expressive, sa voix si sympa-
thétique, son visage si parlant, que de temps en temps, je
était capable d’attraper un rayon de sens. Il semblait
décrire un long voyage, il imite la démarche de
le cheval fatigué, a fait à l’étendue démesurée
de l’horizon, la recherche de tout signe de l’eau, laisser ses
statisme tête et les mains comme celles d’un homme tout à fait
passé, puis tout à coup, apercevant un objet loin
dans le lointain, il semblait dans un premier temps d’hésiter, maintenant
douter, maintenant à croire le témoignage de ses yeux,
jusqu’à ce ramassant courage dont il a poussé en avant, et
enfin en rendant grâce à Allah, et de rire à haute voix
de joie, se laissa tomber avec un grand soupir de soulagement dans la
l’ombre d’une oasis délicieuse qui il avait abandonné tout
l’espoir d’atteindre. Le public est resté silencieux et
à bout de souffle tout au long du récit, qui reflète dans leur
faces chaque mot prononcé par le conteur, et
demeurant ainsi avec leurs âmes, à leurs yeux, ils re-
vealed pleinement la franchise, nature naïve qui se trouve dor-
mant sous ces extérieurs sauvage. L’orateur
déplacé vers la droite et à gauche, s’élança, accroupi
sur le terrain, se couvrit le visage avec ses mains, levées
les bras au ciel, et éleva la voix comme il a grandi
progressivement de plus en plus excités, les musiciens
joué avec une ferveur toujours croissante, les auditeurs
se rapprochaient, de plus en plus essoufflé que
le conte ensuite, jusqu’à ce qu’enfin elle atteint son apogée au
un cri tonitruant, les instruments ont volé en l’air,
et le groupe, fort ému, dispersés, à faire
place pour un public frais.

Trois musiciens, qui avaient réussi à attirer
une plus grande foule que personne, fait, par leur ap-
apparence, les mouvements et la musique, un extraordinaire
impression sur moi. Ils étaient tous trois jambes arquées,
très grand, et courbe la tête aux pieds comme ceux-Gro
tesque chiffres qui tiennent lieu de majuscules dans cer-
Tain journaux illustrés. On jouait de la flûte, l’autre un
petit tambour à grelots attachés, et le troisième
un instrument extraordinaire, comme une clarinette combinés dans
certains de façon remarquable avec deux cors de chasse, qui
répandaient les plus inouïes de sons. Ces trois
hommes, vêtus de quelques haillons, serrés l’un de l’autre
côtés, comme s’ils avaient été attachés ensemble, et
jouer en continu et désespérément leurs solitaire
l’air, le même, sans doute, qu’ils avaient joué
pour les cinquante dernières années, tournait lentement autour d’une
cercle. Je ne sais pas comment ils se déplaçaient j il semblait
être un croisement entre la danse et la marche, certains rapide
motions comme un coq picorant, enlèvements certains des
les épaules, fait par tous les trois en même temps et moi-
mécaniquement, et si différentes des actions communes entre les
nous, alors tout à fait nouveau et étrange, que plus je
les regardait plus je suis devenu perplexe, se sentant comme
si elles doivent être l’expression d’une idée ou
ont leur origine dans quelque particularité de la race arabe;
et même maintenant, je me surprends souvent à penser à eux.
Ces trois malheureux, ruisselant de sueur,
joué et dansé sur de plus d’une heure avec
une gravité inaltérable, écouté par une centaine de
ou plusieurs personnes debout dans un proche, un groupe immobilier,
le soleil brille à plein dans les yeux, et ne donnant aucun signe
soit de plaisir ou de gêne.
Le rassemblement de tous les plus bruyants a été celle qui entoure
les soldats une douzaine d’hommes, jeunes et vieux, certains
porter des caftans blancs et d’autres vêtus seulement d’une tunique,
celui-ci avec un fez, que l’un d’une cagoule, armés de
fusils à silex aussi longtemps que des lances, dans lequel ils
poudre versé, il ne serait pas d’usage d’employer des voitures
cartouches au Maroc. Un ancien combattant dirigé l’ex-
cices. D’abord, ils se placèrent six d’un côté
et six sur l’autre, en face de l’autre. À un moment donné
signal ils changent de place sur une course et se mit à genoux avec
un genou sur le sol, puis l’un d’eux a chanté
quelque chose, je ne sais pas ce qui, dans une voix de fausset aigre, tous les
trilles et de croches, ce qui a duré quelques instants, et
a été écouté dans un profond silence, puis avec un
ils ont tous sauté accord à leurs pieds, ont formé un cercle,
et bondissant en l’air avec un cri sauvage de de-
lumière inversé leurs fusils et ont tiré dans le sol.
Nul ne peut concevoir de la rapidité et la fureur, l’
charme diabolique et la joie frénétique de ce bruit,
brillante performance, vu les nuages au milieu de la fumée,
sous l’éclat du soleil. A quelques pas de
moi il y avait parmi les spectateurs une petite fille arabe
de dix ou douze, non encore voilée, avec l’un des prêt-
tiest visages que j’ai vu à Tanger. Elle avait un clair, charcuterie-
Cate teint olivâtre et de grands yeux bleus, tendu
en ce moment dans toute leur étendue avec émerveillement à la vue
une vue beaucoup plus merveilleux pour elle que les exploits des
soldats. Ce moi-même été dans l’acte de soutirage
mes gants que seconde peau, comme les garçons arabes disent,
les chrétiens mis hors tension et à volonté et sans
se blesser le moins du monde.

J’ai hésité si ou pas de témoin le serpent-
performance charmeurs », mais la curiosité enfin se
le meilleur de répugnance, je me suis approché du groupe.
Ces soi-disant charmeurs de serpents appartiennent à l’ordre
de l’Aissowieh, et qui sont censés en tirer
leur patron, Ben-Aiissa, le pouvoir de recevoir la piqûre de
aucune créature, quelle que soit venimeux, sans en-
curring le moindre mal. Beaucoup de voyageurs, en effet,
eux-mêmes doués d’une grande foi, déclarent qu’ils
ont vu ces personnes reçoivent une piqûre qui
a attiré de sang, sans subir aucun mauvais effet, à partir de ser-
pents dont la nature mortelle a été prouvé peu après
quartiers par des expériences faites sur les animaux, et ils
ajouter qu’ils ont été incapables de découvrir par ce
on entend les charlatans habiles réussir à rendre
l’inoffensive morsure. Le Aissowan j’ai vu présenté
un spectacle assez horrible, mais sans effusion de sang.
Il était un petit arabe robuste, avec un pâle, pendard
face, velu comme un roi mérovingien, vêtu d’une sorte de
tunique bleue, qui est tombé au sol. Comme je l’ai approché
il était grotesque sauter autour d’une peau de chèvre
réparties sur la terre, de dessous qui passait l’
la bouche d’un sac dans lequel les serpents étaient enfermés.
Comme il a sauté et a sauté sur il a chanté une mélancolie
chant à l’accompagnement d’une flûte, apparemment une
invocation adressée à son saint. Cette conclusion, il
claquaient et gesticulait pendant un certain temps pour induire
les spectateurs de jeter de l’argent. Ensuite, à genoux
en face de la peau de chèvre, il plongea la main dans le
sac et en tira avec beaucoup de soin un long, verdâtre
serpent, très animée en effet, qu’il portait autour de
pour le public d’examiner, puis a commencé à gérer
dans toutes sortes de manières, un peu comme si elle avait été un
bout de corde. Il la serra autour du cou, il a tenu jusqu’à
par la queue, il a lié autour de ses tempes, il se cacha dans son
du sein, il tordus dans et hors des trous d’un tambou-
rine, il jeta sur le sol, il maintient avec ses
pied, il garrotté sous le bras, l’horrible bête
Pendant ce temps l’élevage sa tête plate, s’élançant hors de sa langue
et se tordait sur ceux flexible, répugnant, ab-
mouvements objet qui semblent l’incarnation même de
la lâcheté et la trahison, la chasse en dehors de ses vilains
petits yeux toute la rage qui a secoué son corps, mais
jamais à aucun moment tenté de mordre la main qui tenait
il. Quand il était fatigué de ces exercices la Aisso-
wan, s’emparant du serpent par l’arrière de son cou,
enfoncer un petit morceau de fer dans sa bouche pour le tenir
ouvrir, puis elle a procédé pour trouver la plus proche de spec-
mentateurs d’examiner ses dents, une inspection qui a semblé
me superflu, vu que personne ne l’avait été mordu,
si en effet la substance empoisonnée n’avait pas déjà été
extrait. Après cela, saisir fermement la créature
avec les deux mains, il a pris la queue dans sa bouche et
a commencé à travailler ses mâchoires, la bête se tordait frénétiquement,
et je suis parti en dégoût. En ce moment, notre chargé d’affaires
paru dans le Sok. Le vice-gouverneur, en le voyant
du haut de la colline, a doAvn se rencontrer et de con-
lui conduit à sa tente, où actuellement tous les membres
de la caravane avenir, moi y compris, ont été assem-
saigné Avant longtemps, les musiciens et les soldats avaient
recueillies en face de la tente, et les personnes suivantes,
un grand demi-cercle d’Arabes a été formé, les hommes en
avant, le beau sexe dans les groupes à l’arrière, et vient-
il a éclaté avec une danc vacarme le plus diabolique-
ING, cris, chants, des cris, des rapports des armes à feu
qui a été maintenue pendant plus d’une heure, au milieu dense
des nuages de fumée, et accompagné par la musique surnaturelle
et les cris stridents des femmes et des enfants, à la
satisfaction paternelle du vice-gouverneur et de notre en-
plaisir du verbe. Avant il a cessé le chargé d’affaires
a glissé un petit objet jaune dans la main de l’un des
les soldats arabes, avec ordre de le donner à l’administrateur
des festivités. L’homme revint bientôt et
livré un message assez singulier de ce dernier
de grâce traduit en espagnol: “The Italian
l’ambassadeur a fait une bonne action; peut
Allah bénisse, tous les cheveux sur la tête. “La fête
tenue le coucher du soleil jusqu’à ce qu’une telle fête étrange que cela
a été! Trois porteurs d’eau suffisait à satisfaire les
veut de toute cette foule, pour une demi-journée sous la
rayons brûlants du soleil d’Afrique. Un muzuneh a été
peut-être la plus grande pièce mis en circulation par
que grand concours de peuple; les seuls plaisirs
se livraient à, celles de la vue et le son, pas de flirt;
pas une seule personne ivre, ne poignardé! vraiment
rien du tout en commun avec les fêtes de civilisés
peuples.

En plus de visiter les divers sites, moi et mon
futurs compagnons de voyage utilisé pour faire de longues promenades
dans la campagne environnante de Tanger, qui n’est pas moins
curieux et mérite d’être vu que la ville elle-même.
Tout autour de l’extérieur des murs s’étend une ceinture de
plaisir et jardins potagers, la propriété, pour la
plupart du temps, des ministres des Affaires étrangères et les consuls, et
la quasi-totalité d’entre eux négligés, mais rempli d’une merveille-
Lous végétation. Il ya de longues rangées d’aloès, de la recherche
comme des lances énormes, coincé au milieu d’un bouquet de
Dirks avec des points de courbe, qui est la forme de la
feuilles. Les Arabes utilisent les épines et les feuilles de fibres
de recoudre les plaies. Il ya des figues indiennes, aussi, Ker-
mus del Inde, comme on les appelle dans la langue arabe,
très grand, avec des feuilles d’un doigt d’épaisseur, qui relèvent de la
nombres tels que presque pour bloquer les chemins; com-
figues lun., à l’ombre duquel une douzaine de tentes pourraient être
rangée; chênes, acacias, de lauriers roses, des arbustes de toutes sortes
qui s’entremêlent avec les branches des arbres plus grands,
et, avec l’herbe, la vigne, des roseaux et des haies,
forment une épaisse broussaille inextricable, sous lequel
chemins et fossés sont comme cachés. Dans de nombreux endroits
il est nécessaire de marcher à tâtons le long. Vous passez
d’une propriété à une autre, partout en panne
haies et les clôtures position couchée sur le sol,
dans l’herbe et des fleurs pour atteindre à mi-hauteur, et
sans voir qui que ce soit. Quelques petits blancs
maisons à demi cachée parmi les arbres et une occasion
et d’où, par le biais de petites tranchées, le
terre sont irriguées, sont les seuls objets qui sug-
Gest l’idée de la propriété ou du travail. Souvent,
si je n’avais pas été accompagnée par le personnel-capitaine, un
guide admirable, j’aurais certainement perdu mon chemin
dans cette masse confuse de la végétation, et comme il nous a été
ont été obligés de tenir en héler un autre, comme les gens
dans un labyrinthe, afin de ne pas se séparer. Nous
l’habitude d’aimer se plonger dans cette mer de verdure, maillots de bain-
ming en elle, et en forçant notre chemin avec les mains et la tête
et les pieds, comme deux sauvages lâchés dans leur langue maternelle
forêts après avoir langui en prison. Au-delà de cette ceinture
des parcs et jardins il ya des maisons plus, les arbres,
haies, ou toute division de la terre. C’est une étendue
de la colline verte et vallée et la plaine vallonnée, où
un troupeau de bovins occasionnelle peut être vu de pâturage
sans garde en vue, et quelques-uns au galop les chevaux libres
environ. Sur une seule fois je me souviens avoir vu
qui participe à cultiver la terre; un Arabe
conduisait un âne et une chèvre accrochée à un petit
charrue de la conception de curieux, sans doute la forme de ces
l’utilisation de quatre mille ans, il faisait un
sillon si petite qu’à peine visible, dans un champ
recouvertes de pierres et les mauvaises herbes. On m’a assuré que
il n’était pas rare de voir une femme et un âne
attelés ensemble à la charrue, qui peuvent servir à
donner une idée de l’état agricole de Mo-
Rocco. Le seul engrais mis sur le terrain est le
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Phare, Cap Spartel au sol

cendres de la paille brûlée après la récolte, et la
seulement pris le soin de ne pas épuiser la fécondité des
le sol consiste à laisser l’herbe pousser pour le pâturage
tous les trois ans après la plantation de blé et de maïs
les deux autres. Malgré cette précaution, le
sol devient pauvre après quelques cultures ont été
cultivé, et puis ces agriculteurs errance avancer dans
recherche de nouvelles terres à cultiver, qui à son tour est aban-
abandonnés pour la première fois. Ainsi, seule une très petite partie de la
terre arables sont cultivées en même temps; sol
qui, même avec un tel traitement donne un cent
fois sur ce qui est semé.

L’excursion la plus belle de toutes était de Cap-
Spartel, le Ampelusium des anciens, qui forme
l’extrémité nord-ouest du continent africain une
montagne de pierre grise, environ un millier de pieds de haut,
en cours d’exécution dans la mer dans un hardi promontoire, avec
grandes cavernes à sa base, consacré dans l’Antiquité
à Hercule specits Herculi sacer. De la somme-
mit s’élève le célèbre phare construit que quelques-uns
la plupart des années auparavant et maintenu par des contributions des
des puissances européennes. Nous avons escaladé la tour jusqu’à
à celle-ci même lanterne, qui jette ses brillantes
avertissement à une distance de vingt-cinq miles. De
de là, vers l’erre d’œil sur deux continents et deux
mers. Vous pouvez voir les confins de l’
Méditerranée et l’horizon illimité de la vaste
L’Atlantique, la mer des Ténèbres Bahr-ed-Dholma,
que les Arabes appellent le battre contre le pied de la
roches. Vous voyez les côtes espagnoles à partir de Cap-Tra-
Falgar au Cap-Algésiras, la côte africaine de la
Méditerranée aux montagnes Ceuta, l’septem
fratres des Romains, et vague, au loin, les
puissant rocher de Gibraltar, que les stations sentinelles éternelles
mentionnés sur le portail de l’ancienne continents, que les mys-
limite délétères de l’ancien monde, maintenant le Fa-
Vola vile ai navigante Industri.

Dans toutes ces expéditions, nous avons rencontré, mais un très petit nombre
Arabes personnes, généralement à pied, qui ont réussi sans
nous regarde, ou parfois un Maure à cheval,
un personnage de quelque importance, soit en raison de
sa richesse ou au bureau, accompagné par une troupe de ser-
fonctionnaires, qui nous a jeté un regard dédaigneux en passant.
Les femmes cachaient leurs visages plus jalousement que
en ville, certains d’entre eux murmurant et d’autres tournant
le dos à nous brusquement. Parfois, cependant,
un Arabe cesserait directement à notre manière, et, voyez-
ING nous droit dans les yeux, murmure quelques mots
presque sur le ton de celui qui demande une faveur, et puis
s’éloigner sans se retourner. En règle générale, nous pourrions
ne comprends pas ce qui a été dit, mais il a été expliqué
nous plus tard qu’ils nous suppliaient de prier pour que
Qu’Allah accorde à ses pétitions. Il semble que
il ya une superstition chez les Arabes
que les prières des musulmans sont si agréables
pour que Dieu en général des retards d’y répondre
afin de prolonger le plaisir, tandis que la prière
d’un infidèle, un chien qui est, un chrétien ou un Juif
est, au contraire, si odieux que, afin d’obtenir
débarrasser de lui, Il lui accorde ipso facto. La seule amicale
visages nous jamais rencontrés étaient ceux de la communauté juive
garçons, qui tournaient autour de troupes, montés sur leurs don-
touches haut et en bas des collines, et criant gaiement
à nous comme ils galop, Buenos dias caballeros ^!

Cependant, malgré les divers et roman
la vie que nous menions à Tanger, nous étions tous impa-
ambulatoire à être à off pour revenir au mois de
Juin, avant la grande chaleur ensembles en charge la
d’affaires avait envoyé un courrier à Fès à un-
noncer que l’ambassade était prêt à démarrer, mais à
moins dix jours doit s’écouler avant son retour pourrait
espérer. L’information privée est venu pour que la
escorte était déjà sur son chemin; d’autres ont dit qu’il
n’avait pas encore commencé, tout était aussi incertain
et contradictoires, comme si cette fameuse de Fès-laïcs
two thousand miles de la côte, au lieu de deux
cent vingt kilomètres. Nous avons plutôt voulu
ce, même si, comme il fait disjoncter nos quinze jours assumer
l’importance d’un long voyage, et jeta autour de
Fès, la fascination d’une vague étrange, mystérieux
place. Cette impression a été, en fait, beaucoup de force-
besoin par les récits extraordinaires qui nous ont dit de
la ville et ses habitants, et des périls de la
voyage par ceux qui avaient accompagné Embas autres
sies. Nous avons été informés qu’ils avaient été sur-
arrondis par des milliers de cavaliers, qui ont accueilli
eux avec un furieux, un incendie à proximité, au risque de l’aveugle
ING eux; que les balles avaient sifflé par les oreilles; que
il était plus que probable que certains d’entre nous Italiens
obtenir une ou deux onces de plomb dans notre corps qui avait
été destinés à la croix blanche sur notre drapeau une
objet que les Arabes ne manqueraient pas de considérer comme
une insulte directe à Mohammed. Ils nous ont parlé
A propos de scorpions, serpents, mygales, les nuages d’herbe-
larves, araignées, crapauds énorme, qui nous
rencontre sur la route et dans nos propres tentes. Ils
peintes à l’entrée de l’ambassade dans Fès
couleurs sombres, faisant allusion à des tourbillons de cavaliers,
dense foule hostile de personnes, et sombre, couverte
rues encombrées de carcasses d’ani-morts
Mals. Ils ont prophétisé toutes sortes de malheurs
pendant notre séjour dans la métropole inertie mortelle,
dysenterie violente, les rhumatismes, les moustiques féroces,
par rapport à nos propres qui sont positifs bénisse-
Ings, et le dernier de tous, ils parlaient de la nostalgie,
en vertu de laquelle la tête et raconte l’histoire triste
d’un jeune artiste de Bruxelles qui avait accompagné
l’ambassade de Belgique, et au bout d’une semaine a été
saisi d’un tel désespoir mélancolique que le minis-
ter a été obligé de le renvoyer en toute hâte à Tanger,
afin d’éviter d’avoir mourir sur ses mains, et cette
a été réellement. Tous ces comptes funestes, comment-
Toutefois, seulement servi à aiguiser notre impatience. Je l’ai rappelé
avec amusement, aussi, ironique boutade de ma mère.
Après avoir vainement tenté de me persuader de
renoncer au voyage au Maroc en raison de la nature
bêtes, “Oh, eh bien, dit-elle,” ne fait aucun doute que vous
droit, après tout. Qu’importe si une panthère
ne vous dévorer? Les journaux, sans aucun doute,
publier un compte rendu complet de celui-ci! “Après tout cela, il est facile
d’imaginer comment nous borné de nos chaises quand, un
jour, Signer Salomone Aflalo, drago légation deuxième
l’homme, apparut à la porte de salle à manger et de pro-
annoncé dans les tons sonores, les mots, “L’escorte
est arrivé de Fès! “Avec l’escorte avait également
viennent les chevaux, les mulets, les chameaux, les palefreniers, les tentes, les
itinéraire fixé par le Sultan, et l’autorisation de
commencer. Il était nécessaire, cependant, attendre encore un peu
jours de plus afin que les hommes et les bêtes pourraient
ont une chance de se reposer. Ces derniers ont été jusqu’à
la kasbah, où je suis allé le lendemain pour voir
eux. Il y avait quarante-cinq chevaux, y compris ceux
de l’escorte, vingt-mules de selle, et plus de
cinquante mules, à laquelle bon nombre d’autres, engagé
à Tanger, ont été ajoutés plus tard. Les chevaux, comme
tous les autres au Maroc, étaient petites et peu construit,
les mules robustes. Les deux selles et meutes ont été cou-
livrés avec le chiffon rouge, et les étriers fait d’un large
morceau de fer, s’est présenté sur les deux côtés de manière
de soutenir et de renfermer l’ensemble du pied, servant à
fois comme un aiguillon et une arme de défense. Les pauvres
créatures ont été presque tous allongés sur le sol,
épuisé plus par l’insuffisance de nourriture que l’
durée du voyage, une partie de ce qui aurait
allé les ayant très probablement été convertis
en argent pour leur propre poche par leurs soins
preneurs. Quelques-uns des soldats de l’escorte
étaient présents. Ils s’approchèrent à la fois et a commencé
de parler, en essayant de nous faire comprendre, par le biais de
gestes, que le voyage avait été fatigante, que
ils avaient beaucoup souffert de la chaleur et la soif, mais
que, par la grâce d’Allah, ils étaient arrivés la sécurité et
sonore. Il y avait parmi les nègres et les mulâtres
eux, le tout enveloppé comme à long capes blanc, grand, un-
gulaire les hommes, le visage dur, les dents cruelles prospectifs, et
yeux féroces, dont l’expression nous a fait sentir que
deuxième escorte ne serait pas hors de propos d’interposer
entre eux et nous en cas de hap-rien
uverture. Alors que mes compagnons étaient je gesticulant
me suis occupé à chercher tranquillement sur les
mules pour celui qui aurait le plus doux, plus
expression docile et aimable à ses yeux. Il s’est avéré
à un blanc avec une selle arabesques, et à
son offre miséricordes j’ai décidé de confier ma vie.
De désormais jusqu’à notre retour tous les espoirs de l’italien
la littérature au Maroc ont été épinglé à ce que la selle. Nous
vient ensuite à la Barra Sok di, où le prin-
pal tentes avaient été dressées. Il nous a donné le plus grand
plaisir à contempler ces logements petite toile,
sous lequel nous devions coucher pendant trente nuits
au milieu des solitudes inconnues, d’entendre et de voir autant de
des choses merveilleuses, et au travail, un sur une géo-
tableau cal, l’autre sur un rapport officiel, un autre sur un
image, une autre sur un livre, faisant parmi nous un peu
qui se déplace en Italie à travers l’empire de la
chérifienne. Ils ont été tentes circulaire fait, certains des
suffisamment grand pour accueillir plus de vingt
personnes, tous les nobles, et en toile double, avec
rayures bleu-ciel, et ornée sur le dessus avec de grands
billes de métal. La plupart d’entre eux étaient la propriété de la
Sultan, et qui sait peut de nombreuses belles sérail
ont dormi sous eux au cours de leur célèbre
voyages de Fès à Méquinez et de Méquinez
au Maroc! Dans un coin du camp se trouvait un certain
devant nombre des soldats d’escorte, et d’entre eux, sur
pied, un étrange personnage en attendant l’arrivée de la
ministre. C’était un homme d’environ trente-cinq, un gros
mulâtre d’apparence majestueuse, vêtu d’un blanc grand
turban, un manteau bleu clair, pantalon rouge, et un sabre
dans un étui en cuir avec un rhinocéros en peau de poignée.
Actuellement, le ministre est arrivé et lui a remis à
nous. Il était le commandant de l’escorte, un général
dans l’armée impériale, nommé Hamed Ben Kasen
Buhamei, qui avaient été chargés de nous accompagner à
Fès et de retour à Tanger, et de répondre avec
sa tête pour la sécurité de la nôtre. Il a secoué notre
les mains avec une affabilité beaucoup, et a exprimé, à travers
l’interprète, l’espoir que nous aurions un moyens-
ant voyage. Son visage et de la manière qui m’a rassuré, com-
complètement en ce qui concerne les dents et les yeux du sol-
Diers que nous avions vu dans la casbah. Il n’a pas été
beau, mais son visage a donné la preuve d’une
bonnes dispositions, ainsi qu’une rapide, l’esprit vif.
Il doit avoir été en mesure de lire, écrire, et coulé en place
comptes; ont été, en un mot, l’un des plus hautement
généraux instruits dans l’armée, pour le ministre de la guerre
avoir cédé lui aussi important et délicat
mission. La distribution des tentes ont été réalisés dans
sa présence. Un a été affecté à la prochaine j Art
pos le plus important après celui de l’ambassadeur a été prise-
session de par le commandant des forces navales, le personnel-capitaine,
le vice-consul et moi-même, et dès ce moment
il était prévu que ce serait les plus bruyants dans la tente
camp. Un autre très grand a été choisi pour servir
que la salle à manger j puis d’autres ont été choisis pour la
médecin, interprètes, sol légation cuisiniers, des domestiques, et-
soldats, le commandant de l’escorte et ses hommes ayant
tentes séparées, d’autres encore devaient être ajouté sur la
jour du départ. En bref, il était facile de voir que
nous devions avoir un campement très belle, et
Je me sentais déjà un ardent désir de commencer à
remuer en moi de plonger dans narration descriptive.

Le lendemain, notre chargé d’affaires, accompagnée
par le commandant et le capitaine, est allé faire appel à
le représentant du gouvernement impérial, Sidi-
Bargas, qui exerce dans une certaine mesure le fonc-
tions d’un ministre des Affaires étrangères à Tanger. Je
se joignirent à eux, être curieux de voir un ministre de la For-
Affaires étrangères qui (à moins que son salaire a été soulevée dans
des vingt dernières années, une chose très peu probable) reçoit
soixante-quinze francs par mois de son gouvernement, en
y compris toutes les sommes destinées à couvrir tout fonctionnaire ex-
penses qu’il peut encourir un montant somptueux, cependant,
par rapport aux salaires du gouverneur, qui est seulement
cinquante francs, et il n’est pas à supposer que cette
bureau est un sine cura, dont les fonctions peuvent être mis hors de
la première personne qui vient le long. Le célèbre Sid-
tan, Abd-Er-Rahman, par exemple, qui régna de
1822 à 1859, n’a pu trouver aucune emboîtés l’un pour le poste
mais un certain Sidi-Mohammed-el-Khetib, un sucre et
café-marchand, qui, alors qu’il a exercé les fonctions
d’un ministre, ont continué à vendre régulièrement à Tanger
et Gibraltar. En effet, les instructions données à ce
ministre par son gouvernement, tout en extrêmement sim-
exemple, pourrait bien embarrasser le diplomate le plus achevé
de l’Europe. Un consul français a formulé les
avec une grande précision suivante: «Répondre à tous les de-
mande faite par les consuls de promesses; reporter
la réalisation de ces promesses à la possibilité dernier-
ble moment; de gagner du temps; jeter toutes sortes de difficultés
dans la façon de les plaignants; agir pour que, las de
demandes de décisions, qu’ils renonceront. Si, toutefois, ils
commencent à menacer, le rendement, mais aussi peu que possible;
si ils commencent alors à charger leurs armes à feu, le rendement tout à fait,
mais pas avant le moment suprême arrive. “Il faut
être ajouté, cependant, que depuis la guerre avec l’Espagne,
et en particulier sous le règne de Moulay-el-Hassan,
les choses ont beaucoup changé.

Nous montâmes à la kasbah, où la réunion ministérielle
résidence est située. Deux lignes de soldats formés

ailes de chaque côté de l’entrée. Traversée d’un
jardin, nous sommes entrés dans un appartement spacieux, où la
Ministre des Affaires étrangères et le gouverneur de Tan-
gier de pointe pour répondre le chargé d’affaires. À l’
fond de la salle a été une alcôve contenant certains
chaises et un canapé, dans un coin se trouvait un très impré-
tendant lit, sous le lit d’un service à café; l’
les murs étaient blancs et nus, et le sol recouvert de
nattes. Nous avons pris nos places dans l’alcôve, et considéré
les deux personnages auxquels nous sommes confrontés, qui a offert une base ad-
contraste admirable à l’autre. Un, Sidi-Bargas,
le ministre, était un beau vieillard, avec un blanc
barbe, teint frais et clair, une paire de indescriptible-
habilement yeux vifs, et une large bouche souriante, doublée
avec deux rangées de grandes dents aussi blanches que l’ivoire, un
visage qui a donné des indications au premier coup d’œil
de cette astuce, que la nature merveilleusement souple,
qui est une condition absolue de la fonction qu’il détenait.
Les lunettes de vue et tabatière, et certains ceremoni-
mouvements des unités d’organisation de la tête et les mains lui a prêté près de
l’air d’un diplomate européen. Nous avions devant nous
un homme habitué à associer à REMP chrétiens-
rieur, peut-être, à de nombreuses superstitions et pré-
judices de ses compatriotes un libéral d’esprit Mussul-
l’homme, un Maure portant un vernis de la civilisation, L’
d’autres, Kaid Misfiui semblait être la personnification de très
tion du Maroc. C’était un homme d’environ cinquante ans, sombre,
barbe noire, musclé, sombre, taciturne, qui était assis
avec le visage, la tête courbée sans sourire, les yeux fixés sur la
sol, et le front de descente, comme si nous inspirée
lui avec la plus grande répugnance. Je l’ai observé
du coin de l’œil avec DIS considérable-
la confiance. Il me semblait un homme qui pourrait ne
ouvrir la bouche dans le but d’amener quelqu’un
tête à rouler sur ses pieds. Ils portaient tous les deux grandes
turbans blancs, et ont été enveloppé de la tête aux pieds
dans caiks diaphane.

Le chargé d’affaires a présenté le commandant et
le commandant de bord au moyen de l’interprète. Les deux étant
agents, la mise en place a appelé à ne com-especial
ment, mais quand mon tour est venu, une sorte de expli-
tion à mon appel était nécessaire, que le minis-
ter a donné en termes exagérés. Sidi-Bargas resté
silence pendant quelques instants, puis adressé quelques-uns
mots à l’interprète, qui les traduit comme sui-
bas: «Son Excellence souhaite savoir pourquoi, depuis
la main de Votre Seigneurie est si doué, il ne faut pas
couverts; Votre Seigneurie doit retirer le gant de façon
que la main pourrait être vu. “Cette forme de compli-
ment était si nouvelle que j’étais fort embarrassé de répondre.
“Il est inutile, dit le chargé d’affaires,« le
talent réside dans la tête, pas dans la main. “Il aurait
semblait qu’il n’y avait plus rien à dire,
mais quand un Maure se tenir une fois d’une métaphore, il
ne pas laisser passer si facilement. “C’est vrai,” re-
retors Son Excellence, “mais la main est l’outil, et
aussi le symbole du don de l’esprit. “Et si l’
discussion a porté sur les quelques instants plus.
“C’est le cadeau d’Allah», a conclu Sidi-Bargas à
dernier. «Avare Allah, dis-je à moi-même. Le con-
conversation maintenant tourné sur le prochain voyage.
Il y avait de longues listes de noms des gouverneurs, les provinces,
rivières, vallées., montagnes et plaines qui nous ont été
de rencontrer sur notre route, les noms qui résonnaient
dans mes oreilles comme autant de promesses de belles choses
à venir, et mettre mon imagination en feu. Que pourrait-
la Montagne Rouge être? Qu’est-ce que nous voyons sur le
rives de la rivière des Perles? Quelle sorte de gouverneur
doit-il être qui portait le nom de «Fils de la Mare?”
Notre responsable a demandé à un grand nombre de questions concernant
les distances, l’eau et de l’ombre, qui infor-
tion Sidi-Bargas avait à bout de ses doigts, et il doit
être admis que, à cet égard au moins, il est supérieur
le vicomte Venosta, qui ne serait certainement pas en mesure
de dire à un ambassadeur étranger le nombre de ressorts
et des groupes d’arbres se trouvent sur la route de
Naples à Rome. Enfin, il nous souhaita un coffre-fort-jour
Ney, avec la formule, «la paix soit sur votre route,”
et accompagné de la charge à la porte, secouant nous
tous par la main, avec toutes les apparences de la cordialité
bonne volonté. Kaid Misfiui, toujours parfaitement silencieux, ex-
tend le bout de ses doigts sans lever les yeux.
“Oh, c’est ma main, il est, et non pas la tête, je lui dis-je
pour moi, comme je l’ai tendu la mienne. Nous nous étions
hors de la salle lorsque le ministre nous a surpris.
“Quel jour voulez-vous commencer!” il demanda Comm.
Scovasso. “Dimanche,” fut la réponse. “Make it
Lundi “, a déclaré Sidi-Bargas vivement. La charge
demandé pourquoi. «Parce que, dit-il, avec une gravité parfaite,
“C’est un jour de chance», et s’inclinant devant nous une fois de plus, il
disparu. On m’a dit ensuite que Sidi-Misfiui
a la réputation parmi les Maures d’être un grand
savant. Il a été précepteur du sultan régnant, et,
comme chacun peut le constater en regardant son visage, un fanatique
Musulman. Sidi-Bargas jouit de la plus aimable
distinction d’être un grand joueur d’échecs.