Ibn al-Qâsim, Ibn Rushd, Droit de Grâce, Cordoue, v. 1120 n-è

Si la victime d’un meurtre ne laisse pas de parents, le Sultan peut exercer le talion contre le meurtrier, mais non lui pardonner, car il ne convient pas à l’Imâm de laisser impuni le sang d’un Musulman.

Le Sultan n’a pas le droit de pardonner au meurtrier de celui qui n’a pas laissé de parents. De même il exigera le serment de celui qui est en prison sous l’inculpation de meurtre, établie par une bayyina (preuve testimoniale) irréprochable. Il n’y a pas de texte sur la question.