Ibn al-Hajj, Cordoue, Droit d'Expropriation, v. 1110

Les propriétaires, quels qu’ils soient, seront contraints de vendre leurs immeubles moyennant leur valeur estimative, de même que l’on contraint le propriétaire de l’eau à en vendre à ceux qui ont soif ou craignent pour leur récolte, comme aussi on doit céder, de gré ou de force, son cheval ou sa jeune servante au Sultan.